Service international d’une banque (cic)
SERVICE INTERNATIONAL D’UNE BANQUE
I. Importer et exporter
a. Les solutions de financement
L’Exportateur fait appel à la mobilisation de créances nées MCNE qui est un escompte de facture tiré sur client étranger.
Crédoc qui peut être racheté ce qui finance les BFR pour la trésorerie.
Financement pour la prospection par la Coface qui rembourse la banque et ensuite le clientrembourse la Coface (frais d’avion,hotel…)
Financement via OSEO organisme d’état qui aide pour l’exportation (réponse à un appel d’offre, mise en place de caution/garantie)
b. Les créances pour les sociétés de négoce international
Ce sont des avances de trésorerie souples et rapides. Avec la banque, on choisi les créances en euros sur l’Union Européenne, la Suisse et la Norvège qu’onsouhaite mobiliser, selon nos besoins.
On remet les factures correspondantes, l’acte de cession et les justificatifs de l’expédition : et la banque crédite dès réception.
Un moyen simple, souple et rapide de mobiliser des créances courantes payables par virement.
c. Le soutien dans le dispositif d’implantation à l’étranger
La banque propose un plan d’actions locales en relation avec lesobjectifs commerciaux. Le représentant local de la banque organise et gère les démarches locales d’implantation. Elle définit les étapes claires et personnalisées, avec des comptes rendus réguliers. Cela permet une vision claire sur le planning d’implantation, et une réduction du nombre de déplacements qui seront uniquement pour les démarches essentielles ou pour les rendez-vous prioritaires.L’objectif du soutient à l’implantation est de faire gagner un temps précieux. Dans cette optique, la banque prend en charge une ou plusieurs des missions suivantes :
* recherche de terrains et de locaux
* mise en relation et coordination avec les représentants locaux de la banque
* aide au recrutement
* recueil de données technico-économiques utiles et information sur les aides etsubventions disponibles
* mise en relation avec des institutions et des décideurs locaux.
d. La gestion des opérations de commerce international
Aide à l’internationalisation, la banque trouve localement les importateurs pour le client. Cic seul banque en France à le faire. La BNP le fait en partie mais seulement pour un éclairage d’implantation.
II. La gestion du risque de changea. Définition
Le risque de change d’un actif financier est la variation du cours de change de cet actif par rapport à une autre devise résultant d’une variation du taux de change. Par exemple, le fait de se faire payer en France en Dollars, peut, selon le cours EUR/USD, faire baisser la valeur de l’argent ou inversement en gagner.
b. L’option de change
L’Option de Change fonctionnecomme une garantie : contre le paiement d’une prime, vous obtenez le droit d’acheter ou vendre des devises à un cours convenu, durant une période donnée. Si l’évolution du cours de la devise est profitable, vous abandonnez l’option et négociez vos devises sur le marché. Dans le cas contraire, vous utilisez l’option au cours convenu.
La prime se calcule en fonction de 3 critères :
* le niveaugaranti (le prix d’exercice) par rapport au cours au comptant de la devise
* la durée de l’option
* la volatilité de la devise (son potentiel de variation)
c. Le change à terme
À échéance, le Change à Terme se dénoue dans la devise dans laquelle il a été conclu. Votre opération commerciale doit être certaine lors de la souscription. Si votre contrat commercial ne se réalise pas, vousdevez néanmoins déboucler votre opération de Change à Terme à l’échéance prévue. Cela pourra occasionner un gain ou une perte de change.
III. La gestion des risques de paiement à l’international
a. Le CREDOC
Le crédit documentaire est une technique de règlement utilisée en commerce international. Son originalité est de faire intervenir, entre le vendeur et l’acheteur étranger, une…