Psychologie – l’obsessionnel
Chapitre 5 – Obsessionnel
Tout ce qui concerne perfectionnisme :
exagérément attentif aux détails, aux procédures, aux rangements et à l’organisation souvent au détriment du résultat final.
Tout ce qui concerne l’obstination : têtu, insiste pour que les choses soient faites comme il l’entend et selon ses règles
froideur relationnel : à du mal à exprimer des émotions chaleureuses souventtrès formelles, froides, embarrassés
le doute : à du mal à prendre des décision par peur de commettre une erreur, tergiverse et rationalise exagérément
rigueur moral : extrêmement consciencieuse et scrupuleuse
I – Comment l’obsessionnelle voit-il le monde ?
Il semble redouter particulièrement l’imperfection (il fait très attention aux détails et l’incertitude (grand intérêt pour les procédure etles vérification), il se sent responsable de maintenir son environnement en ordre.
Sa croyance : Premièrement tout irait mieux si on respectait les règle
deuxièmement si quelque chose n’est pas parfait à 100% c’est un échec complet
Il est exigeant avec les autres comme avec lui même, il se sent pleinement responsable de sa recherche de perfection et par contraste il finit donc par trouver lesautres brouillon et irresponsables.
Il croit souvent que les gens ne sont pas fiables, qu’il faut toujours vérifier ce qu’ils font et ça ça correspond à ce que l’on pourrait appeler un idéal de perfectionnisme
II – Les formes modérées
Certaines personnes sont particulièrement attentives à l’ordre au détail, aux procédures mais sans perdre de vue l’importance du résultat final. Lesperfectionnistes se rencontrent dans les 2 sexes mais les hommes ont plus de mal à se remettre en question : 60% de femmes consulte contre seulement 30% d’hommes.
III- Quand les obsessions deviennent une maladie
A coté des personnalités obsessionnelles il existe des trouble obsessionnels convulsifs. Ces personnes se sentent obligé de s’astreindre à de véritables rituel, de rangement, de comptage, delavage répété, ce sont les seuls moyens pour eux diminuer leur anxiété.
Ils ont aussi des pensées obsédantes, involontaires en général sur des termes de propreté, de ou de colpabilité, tout cela peut les occuper plusieurs jours, et ils en souffrent.
On parle de Toc quand les obsessions et les rituels inutiles dépassent 1h / jour
Comment ça se soigne : le résultat de la combinaisonantidépresseur et thérapie comportementale soi meilleur que chacun des traitement pris séparément.
IV – Un peu d’obsession peut être utile
Dans un sens on peut dire que notre société devient de plus en plus obsessionnelle car la
La production de masse oblige les entreprises à créer des procédures de plus en plus strictes pour que leurs produits soient tous identiques et parfaitement fiables afin desatisfaire des consommateurs exigeants qui sont prêts à se tourner vers la concurrence.
Le soucis de sécurité impose la création.
Il y a aujourd’hui de la place pour les obsessionnels à condition de les conduire dans le soucis de bien faire. Dès que les humains se réunissent en équipe pour accomplir une tache, la présence d’un obsessionnel bien choisi pourra être un ingrédient précieux, il garantirala qualité d’un produit finit.
V – Quand le perfectionnisme pourri la vie
Si vouloir faire mieux est un moteur de réussite quand l’exigence est poussé à son paroxysme, le risque est de ne plus rien faire du tout et de se gâcher la vie.
Question qu’on se pose : pourquoi cherche-t-on à être parfait ? Pour être le meilleur et réussir.
Ça commence petite pour faire plaisir à sa mère puis ç acontinue à l’école, à la fac, dans l’entreprise.
Autrement dis le perfectionnisme est un stimulant social. Dans sa C’est dans que l’on rencontre chez les autodidactes
La plupart du temps les perfectionnistes l’ont été dès leur enfance surtout lorsqu’ils ont eu des parents dans le même cas, très jeune l’enfant doit comprendre
Est ce un bon stimulant pour réussir ? Oui, la clée de la réussite…