Les rapports marchands et leurs limites.
Le marché est au sens économique, le lieu réel ou fictif où se rencontre les demandes et les offres des biens ou des services, et surlesquels vont s’établir les prix. Les demandes correspondent à ce que veulent acheter les clients, tandis que l’offres sont les productions que vendent les vendeurs. Pour les économistes classiques et néo-classiques le marché est un processus naturel né du besoindes hommes à vouloir (dans un premier temps) se rencontrer, c’est le lien social, duquel découle (dans un second temps) l’envie de ces mêmes hommes de s’échanger des biens et des services dans le but d’accéder à un degres supperieur de satisfaction, c’est le lien économique.
A l’aube de l’humanité, ses échanges marchands se faisaient par le bié du troc: l’échange d’un bien ou service par un bienou service de valeur équivalente. Puis, afin de faciliter ce lien économique, l’homme inventa la monnaie. C’est avec l’invention de cette derniére qu’est néee la marchandisation et le capitalisme, c’est à dire que desormais tout devient une marchandise y compris les biens non-marchands et que donc tout peut être vendu sur le marché. Ainsi, selon Adam Smith, le plus grand économiste classique (oulibéral), «l’homme est de nature égoïste» ce qui explique qu’il se soit si bien adapté à ses théories.
Je me suis donc posé les deux questions suivantes, de quelle(s) maniére(s) les rapports marchands se sont étendus ? Cette expension est-elle infini, ou alors connait-elle déjà ces limites ?
Dans une premiére partie, nous nous interreserons à l’expansion de ces rapports et dans une secondepartie, nous allons voir que cette croissance n’est pas inéluctable.
I / L’extension des rapports marchands …
Dans cette partie, nous allons voir qu’il existe plusieurs causes à ce phénomène et nous verrons les conséquences qu’il peut y avoir sur la société.
A / Les causes de cette extention
Nous allons étudier les trois principales causes qui sont le systéme économique dans lequelnous vivons, les idées liberales adoptées et la mondialisation.
Depuis les Révolutions Industrielles des XVIII et XIX eme siécle, le model capitaliste, évoqué dans l’introduction, est l’unique systéme économique à avoir fait ses preuves, bien que d’autre existe comme le communisme. Le capitalisme a pour but de faire du profit, donc d’amasser du capital, tous ce que l’homme aime par nature. Lemeilleur moyen d’y arriver et la vente. D cette maniére, les rapports marchands n’ont sans cesse augmenté atteignant aujourd’hui leur âge d’or grace à la troisiéme Révolution Industrielle et aux nouvelles technologies comme les biotechnologies.
Selon les libéraux, l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie quel que soit le pretexte et se limiter aux fonctions régaliénne (Défense,Justice etl’Odre), on parle alors d’Etat gendarme. Etant donné que l’Etat n’intervient pas le marché est libre, il fait ce qu’il veut, donc augmenter ses rapports marchands. De plus, le marché s’autorégule, c’est à dire qu’il va par lui-même trouver un prix qui permet d’égaliser l’offre et la demande, donc pas de crises longues possible. Le marché «libéral» est comme un enfant qui n’a pas de régles auxquellesobéir (les parents [l’Etat] n’intervenant pas) et qui s’il fait des bêtises ne sera pas punit. L’enfant est en pleine liberté et fais ce qu’il veut.
Une autre cause de cette extension, et à laquelle nous asistons de nos jours, est la mondialisation. Cela signifie qu’au lieu d’échanger au sein d’un marché national en semi-autarcie, nous avons un marché international sans aucune mesuresprotectionistes. La mondialisation est accélérée par Internet, car l’on peut échanger à toute la planéte. L’extention des rapports marchands s’expliquent donc par l’explosion du marché à l’échelle mondiale et donc du nombre de possibilité de rapport marchand
B / Les conséquences négatives sur la société de cette extension
Nous allons étudier les deux principales conséquences qui sont lié aux limites…