Faut-il respecter toute les cultures
faut-il respecter toute les cultures ?
Deux approches : une approche absolue, générale du rapport nécéssaire obligatoire légitime et puis une approche politique avec celle du droit. On ne peux pas traiter de la même manière les cultures au sein d’un espace régis par des lois et puis traiter les cultures dans l’absolue
Cela nous amène à deux définitions du respect : une version extérieure.Est-il nécéssaire de travailler à la préservation des cultures ? Cela voudrait dire qu’on ne protège pas forcément une nature pour sa valeur individuelle mais pour préserver les dynamiques nées au sein de la diversité des cultures.
Un respect au sens de tolérance. Cela signifie supporter ce qu’on désapprouve. Il y a donc un problème moral au sein de la tolérance, car je supporte sans rien dire ceque je désapprouve, il y a donc un aspect immoral de la question. On ne peut pas tout tolèrer car alors cela deviendrait immoral.
Ce que va fixer le droit est la limite que nous pouvons supporter des autres cultures et ce que nous ne pouvons tolèrer. Encore que ce n’est pas un refus de la culture dans son ensemble mais simplement des pratiques inhérente à la culture qui dépasserait le droit. On abesoin de fondation à une communauté politique et cela implique de poser des limites aux cultures et de na pas tout tolèrer, mais alors il se pose de la question des limites.
Du point de vue moral la question se pose en sens inverse, pourquoi ne pas considèrer toute els cultures pourquoi ne pas toutes les considèrer de même valeur.
Le premier alter ego de la culture c’est la barbarie lebarbare est celui qui n’est pas civilisé, celui qui inhumain. La sauvagerie c’est la non-civilisation, en fait la non civilisation n’existe pas l’homme est toujours inscrit dans une civilisation toutefois le sauvage a été le nom donné à la personne étant dans une culture primitive ou plus précisément une civilisation de l’oral ou encore civilisation première.
Respecter c’est l’autorité. Il y al’idée d’une soumission. Il y a des cultures qui n’ont pas développée de produit.
Deuxième critère de valorisation des cultures c’est leur apport dans l’histoire. Toutefois c’est assez partiel par exemple un homme qui n’a pas marqué dans l’histoire n’a pas forcément plus de valeur qu’un homme qui n’a pas marqué dans l’histoire.
Si on répond oui il faut respecter toute les cultures, cela pose unproblème car le resepect c’est un sentiment et le sentiment ne se commande pas.
Le faut-il la nécéssité, elle se distingue du devoir parce qu’il est impossible de faire autrement. Est-il possible de possible de faire autrement que respecter toutes les cultures ?
On arrive pas à construire un distingo entre les cultures respectables et celles qui ne le sotn pas. Comme on ne peut pas faire de critèresqui permette de juger la valeur des cultures, alors on les recptecte toute par défaut.
C’est difficile de hiérarchisé les cultures. L’écueil de ce genre de sujet est de partir sur la thématique toute les cultures ont une même.
A l’inverse, si on respectait toute les cultures alors il n'(y aurait pas de droit car il ne pourrait effectuer son rôle.
Il y a une dimension morale, qui nous faitplus passer dans le sens du devoir, ce devoir n’est pas nécessairement moral cela peut être un devoir juridique, ou éthique ou attaché à notre nature.
Il ne faut pas oublier le tout, la multiplicité et la diversité des cultures. Le tout indique un principe. Notre réponse ne peut pas se baser sur ces cultures en elles même c’est forcément une question de principe soit en fonction de ce qu’est laculture ou en fonction de ce que nous sommes nous. La réponse au sujet implique si il faut oui ou non respecter toute les cultures avant même de les connaître. Il y a deux contraires à tout : aucun et quelques uns cela permet de faire trois partie.
La caractéristique première de l’ensemble des culture c’est son caractère historique et relatif ainsi que son caractère artificiel ; c’est à dire…