Economie politique 2
Économie politique n° 2
Introduction générale.
Nous allons aborder les fondements de l’analyse microéconomique. Il faut présenter les économistes ayant contribués au développement de cette analyse à savoir les néo-classique. Au début des années 1870, c’est la révolution marginaliste c’est le nom donné également au néoclassique pour avoir introduit le calcul à la marge. Cette période fut unepériode intense de découverte dans le domaine économique. 3 auteurs vont s’illustrer : -Jevons, -Walras, -Menger. Ces auteurs différents des auteurs classiques pour leur vision de long terme sur les problèmes liés au système économique. Les auteurs néo-classique se différencient également des classiques car ils avancent un nouveau objectif celui de l’affectation optimal des ressources. Pour unconsommateur, il s’agira donc de déterminer comment être dans la meilleure situation, pour le producteur, il lui faudra déterminer les condition pour avoir le profit plus élevé. Le concept économique fondamental devient celui de rareté, alors que pour les classiques c’est la reproductibilité des biens qui existe. Autres différence : les néo-classique sont dont en rupture avec les classiques du fait d’unchangement dans l’objet d’analyse & dans le cadre temporel. 3 autres différences doivent être souligné : -au niveau de la nature du capital : Pour les classiques le capital est une avance d’argent des capitalistes qu’ils cherchent à récupérer après avoir accru. Pour les néo-classiques, le capital est un outil de production défini de manière physique. -au niveau de la théorie de la valeur : Pourles classiques c’est le travail qui détermine la valeur. Pour les néo-classiques c’est une théorie symétrique de la valeur car le capital & le travail ont des rôles équilibré & symétrique. -au niveau de la théorie de la répartition du revenu global : Pour les classiques c’est l’affrontement des classes sociales qui permet la répartition. Le revenu est un prélèvement sur le surplus produit uniquementpar le travail. Pour les néo-classiques, il n’existe pas de classes sociales. Tous les facteurs de production (terre, capital & travail) reçoivent une rémunération déterminée selon le même principe. 3 grands courants vont fonder la pensée néo-classique : -l’école de Vienne & la théorie de l’utilité marginale. Les 3 auteurs mettent en place une théorie subjective de la valeur dans laquelle lavaleur d’un bien est fondée par son aptitude à satisfaire les besoins des agents. C’est une théorie de l’utilité dite marginale. -l’école de Lausanne & la théorie de l’équilibre général. Walras & Pareto décrivent un schéma d’interdépendance général ou l’entrepreneur c’est-à-dire le capitaliste joue un rôle fondamental & assure la liaison entre les marchés des produits & celui des facteurs deproduction. C’est une théorie de l’équilibre général. -l’école de Cambridge & la théorie de l’équilibre partiel. Marshall a l’intuition du rôle conjoint du coût & de l’utilité dans la détermination de la valeur d’un bien. Il préfère résonner en équilibre partiel c’est-à-dire par des firmes représentatives de dimension moyen & ayant une importance relativement faible vis-à-vis du reste de l’économie. Lesnéo-classiques vont ainsi construire les bases de calcul économique rationnel que se soit au niveau du consommateur ou du producteur. L’analyse sera normative, elle donne uniquement les fondements de ce calcul économique rationnel sans prétendre que les agents économiques agissent ainsi. Le principe de maximisation sous contrainte est par ailleurs fondamental. Les limites que l’on peut attribuer sont: -son aspect micro-économique, -le fait que se soit une analyse en équilibre partiel. 1
Économie politique n° 2
Chapitre 1: Le consommateur.
La théorie économique du consommateur est simple. Les économistes considèrent que les consommateurs choisissent le meilleur panier de bien parmi ceux qu’ils peuvent définir. Pour donner un contenu à cette théorie, il convient donc de définir ce…