Ecomie monetaire
Examen Oral :
elle ou on, donne 10 questions qu’on apprend
S’intéresser aux crises budgétaires, et aux événements macroéconomiques de l’actualité
Bibliographie :
Samuelson 1990 Dalloz
Blanchard et Cohen « Macroeconomie » Pearson (dernière partie du cours)
J.F Goux « Macroéconomie monétaire et financière » Economica
Aglietta « Macroéconomie Internationale » (niveau master, mais bon pour la BP)On va essayer de comprendre pourquoi monnaie émerge au niveau national et pas international.
Niveau international, plusieurs monnaies mais pas une monnaie unique. Pourquoi ?
Dans 1ere partie, on va définir la monnaie et son émergence historique.
Dans 2eme partie, on aborde les fondements de l’analyse macro international en économie ouverte (Mundell-Flemming).
A la suite de la crise,critique aux économistes : on néglige l’aspect monétaire et fnanciere
L’approche traditionelle en macro est dichotomique. On a des modèles de macroéconomie réelle avec simplement des références aux aspects monétaires mais qui est souvent négligé. (voir article The economist juillet 2009 qui expose des critiques forte sur le cloisonnement entre sphère réelle et sphére financière, critique de technicitéde la science économique qui est trop mathématisé dont on oublie le sens qu’il y a derrière 1 économiste comprend son modèle, mais seul 10 économistes le comprenne dans le monde ? sa sert a rien.)
Il y a des intéractions nombreuses entre sphère réelle et monétaire. En effet, sphère réelle sont influencées par les variables monétaires, comme par exemple le volume de la production (PIB) va etreinfluencé par la quantité de monnaie en circulation ? relation croissante. Le PIB dépend égalemen de la quantité de crédit. Si on ferme le robinet du crédit, les investisseurs ne pourront plus produire, les consommateurs verront leur bien de conso durable se réduire…
La production est également fonction de l’épargne.
L’inflation a des effets sur la répartition.
Monétaire ? Réelle
M (Monnaie)? Y
Crédit ? Y
S (épargne) ? Y
Inflation ? Répartition
On va donc essayer de montrer qu’il n’y a pas de dichotomie entre ces deux sphères.
On va montrer dans le commerce international qu’il n’y a pas de dichotomie.
Les théories du commerce international, il n’y a pas de taux de change (paradoxal).
Dans l’approche dominante, quand on enseigne au étudiant, on se concentre sur les échangesréels de marchandises et on oublie la sphères financières (par exemple Krugman, Posner etc… il n’y a jamais de taux de change).
Dans IS LM la monnaie est réduit à la détention de titre ou de monnaie, et cela en raison de 2 hypothèses :
? hypothèse d’efficience des marchés financiers (Fama) (sous les feux de la critique du journal The Economist). Fama explique qu’a tout instant le prix desactifs financiers refletent finalement la somme de toutes les infos dont disposent les investisseurs financiers. Le cours observé est le juste prix, un prix qui évoluerait selon une marche aléatoire (random walk) en fonction des chocs. Prix d’un actif = prix d’équilibre car il reflete toutes les infos prises en compte par les investisseurs. Marche aléatoire = on ne pas prévoir le prix de demain,car on ne peut pas prévoir les infos de demain
? loi de Walras : « si on n marchés et que 3 (ou n-1) sont en équilibres alors le 4eme (le n-ième) l’est forcément. On sacrifie donc a chaque fois, selon cette hypothèse le marché financier
CHAPITRE 1 : Monnaie, origines et définitions
Pourquoi malgrès tout les avantages théorique et pratiques que recouvre l’existence d’un moyen de paiementuniversel, il est si difficile de mettre en place au niveau international, un moyen de paiement accepté de tous ?
Section 1 : Les formes monétaires actuelles
Dans les sociétés modernes, coexistent 4 formes de monnaie :
? la monnaie métallique sous forme d’or ou d’argent
? billets
? pièces (monnaie divisionnaire)
? monnaie bancaire (scripturale)
1.1) La monnaie fiduciaire
La monnaie…