Demain des l’aube

août 19, 2018 Non Par admin

COMMENTAIRE SUIVI DE FRANCAIS
« DEMAIN DÉS L’AUBE »
_Les Contemplations (1856) de Victor Hugo _
PLAN
Introduction
Première Partie: vers 1 au vers 4 L’envie de partir
Deuxième partie : vers 5 au vers 8 Préparatif du voyage
Troisième Partie : vers 9 au vers 12 Le recueillement
Conclusion
Les exposants
ADji Yaye Ngone Cisse
_Elisabeth NdellaD.S.Tavares_
Alphonse Tine
Abdou Kader Thiam
_Ousmane Niang_
SITUATION DU TEXTE
Ce célèbre poème intitulé « Demain dés L’Aube » est tiré Des Contemplationslivre IV ‘‘ Pauca Mea’’ et a été publié par Victor Hugo le 3 septembre 1847. Ce poème est dédie a sa fille Léopoldine a la veille du 4 anniversaire de sa mort tragique dans les seines. On peut remarquer l’intimité bouleversantede cette courte pièce et la parfaite sobriété de son art. Victor Hugo (1802-1885) poète lyrique et élégiaque, ce poème peut s’insérer d’une manière significative dans le culte du souvenir.
IDEE GENERALE
Victor Hugo exprime son désir ardent d’aller se recueillir sur la tombe de sa fille Léopoldine. Le poème set comme un pèlerinage vers la tombe.
PLAN
Ce texte peut être divisé en troispartis
Première Partie: vers 1 au vers 4 L’envie de partir
Deuxième partie : vers 5 au vers 8 Préparatif du voyage
Troisième Partie :_ vers 9 au vers 12 Le recueillement_
EXPLICATION DETAILLE
Première Partie: vers 1 au vers 4 L’envie de partir Dés l’entame du texte l’on est frappé par la détermination et l’empressement d’un homme qui ambitionne d’effectuer un pèlerinagespirituel d’un tel déplacement est mis en relief par une accumulation de complément circonstanciel de temps au vers1 « demain, aube, a heure, ou ». Il montre ensuite la nécessité du départ au début du vers 2 avec l’emploi du rejet externe « je partirai ». L’être qu’il veut rencontrer et qui lui est sans doute chère est fortement suggère par le système d’énonciation relevé au vers 2 « vois-tu ». Lepoète interpelle sa fille, l’apostrophe dans le but de l’immortaliser d’ailleurs c’est ce que traduisent les pronoms personnels « tu, m’, je ». Le poète montre eu vers 3 son empressement d’aller se recueillir sur la tombe de Léopoldine en répètent le groupe verbal « j’irai » et on remarque au vers 4 qu’une des douleurs de l’exil sera pour Hugo, de ne pouvoir accomplir ce pèlerinage annuel.Deuxième partie : vers 5 au vers 8 Préparatif du voyage Dés le premier vers de la deuxième strophe on voit le poète submerge par sa propre imagination, par une méditation profonde centré sur sa fille disparue. L’expression métaphorique au vers 5 « les yeux fixés sur mes pensées » nous renseigne de prime abord sur les aspects sentimentaux de la marche vers le sanctuaire. Le vers 6 montre querien ne pourra le distraire d’où le déplacement s’effectue tristement de manière solitaire d’autant plus que le poète choisie délabrement de se courber du monde extérieur mettant en veilleuse certaines de ses sans vitaux que sont la vue et l’ouïe au vers 6 « sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit ». L’anaphore de la préposition ‘‘ sans’’ qui marque la privation construite avec lesverbes de perceptions « voir et entendre » suggère le degré important de la rupture du poète avec l’ambiance qui règne au dehors. Au vers 7 le poète est envahit par une solitude au point qu’il finit par apparaitre sous les traits d’un vieillard « le dos courbé, les mains croisées ». Sa tristesse et sa solitude finissent par le marquer profondément au point de lui faire perdre tout sens dudiscernement jusqu’à ce qu’il confonde au vers 8 « le jour et la nuit » car le temps pour lui ne semble plu savoir de la signification.
Troisième Partie : vers 9 au vers 12 Le recueillement Cette indifférence par rapport au temps et la nature notamment dans les deux dernier vers de la deuxième partie semble continuer toujours à l’abriter dans cette dernière partie. Le poète a décidé de ne plus…