Communication de crise « tchernobyl »
Mathieu Rieffel
Maël Maurin
Communication de crise :
TCHERNOBYL
Jeudi 2 décembre 2010
SOMMAIRE :
I. Historique de l’évènement
II. Théorie
1) reconnaitre le problème :
2) Faire une diversion
3) Faire une obstruction :
III. Communication de crise Tchernobyl
1) L’obstruction
2) La reconnaissance du problème
3) Les résultats de Tchernobyl
IV. ConclusionV. Annexe
I. Historique de l’évènement
Sujet
Le 26 Avril 1986 à 1h30 le ministère de l’Energie ukrainienne reçoit l’information de Brioukhanov, directeur de la centrale nucléaire Lénine situé à 15 km de Tchernobyl, que les 1200 tonnes de dalle de béton recouvrant le réacteur nucléaire n°4 ont été projetées en l’air sur à de multiples explosions et retombent sur le coeur du réacteurprovoquant un incendie mais que le coeur n’est probablement pas endommagé.
Après de multiples essais pour endiguer la catastrophe, le coeur du réacteur s’écroulera le 6 mai.
Tchernobyl est situé en Ukraine a proximité de la frontière avec la biélorussie et a 130 km de Kiev la capital. La centrale est située à 20 km de la ville. Les 4 réacteurs qui constitue le cœur de la centrale on était construits dansles années 70. Il devait être le fleuron de la puissance nucléaire russe. Cet accident a eu lieu le 26 avril 1986. Celui-ci est la conséquence des différents dysfonctionnements. Le réacteur été mal conçu, instable et sans enceinte de confinement. Outre les problèmes de conception, les employés étaient mal formés, voir incompétents, sans le respect des normes en vigueur car le réacteur fut malexploité.
En amont de multiples problèmes sont survenus à la centrale. En effet en 1982 suite à des erreurs de manipulation il y eu une fusion partielle du réacteur numéro1 provoquant des émanations radioactive. Lors d’un autre accident les équipes de réparation ont été irradié. En 1983 lors de la mise en marche du réacteur numéro 4 personne n’a été prévenus de ces problèmes antérieurs.
Ledéroulement de l’accident :
Le test prévoyait une puissance de réacteur donnée, mais celle-ci ne fut pas atteinte et même elle baissait au lieu d’augmenter. De plus les barres de contrôle étaient fausses car la marge de sécurité était trop faible. Pour débloquer la situation les opérateurs on fait une suite de manipulations hasardeuses contraire au protocole de sécurité de la centrale.
Une heure plustard deux pompes supplémentaires sont enclenchées pour essayer de faire augmenter la puissance du réacteur. Dix minutes plus tard le système demande un arrêt d’urgence qui sera bloqué par les opérateurs qui décidaient de continuer. Cinq minutes plus tard l’essai des générateurs de secours a commencé, ils ont fermés toutes les vannes d’alimentation ce qui a entrainé une rapide augmentation de lapuissance du réacteur.
Quasiment dans l’immédiat, l’opérateur en chef ordonne l’arrêt d’urgence, sans que cela puisse être fait à cause de leurs manipulations antérieures.
Par la suite, des petites explosions expulsent les barres hors de leur confinement. Ce qui a pour résultat de projeter en l’air les 1200 tonnes de dalles de béton recouvrant le réacteur. A l’image d’une cocotte minute. Du faitde cette explosion, un incendie radioactif se déclare. Le ministère de l’énergie fut mis au courant quatre heures après l’évènement. L’opérateur chef lui déclarant que le cœur du réacteur n’est probablement pas endommagé.
Pour lutter contre le feu, les pompiers bien sur non protégés et sans équipement adéquat à ce genre d’évènement. Le résultat fut catastrophique car le contact entre l’eau et leréacteur en fusion provoquerait une nouvelle explosion. Il fut éteint par des sacs de sables et du plomb lancés depuis des hélicoptères.
Les pompiers qui sont intervenus sont gravement irradiés et mourront dans d’atroces souffrances.
II. Théorie
Définition : la phase de crise correspond à une succession d’évènements non prévus mettant en danger la réputation ainsi que la stabilité de…