Bien etre au travail
Dans ce rapport de févier 2010 sur l’importance du bien-être et l’efficacité au travail, l’accent est mis sur la place de l’individu en temps qu’homme dans l’organisation où il évolue. Effet nombre de travaux sont sorties sur le stress au travail, englobé depuis peut, par les risques psychosociaux (stress, incivilité, harcèlement); mais reste néanmoins réducteur quant à l’ensemble des variablespertinentes pour juger du bien-être d’un individu dans sont activité.
Loin de considérer son activité salariée comme simple moyen de subsistance, l’individu recherche une forme d’évolution caractérisé par la satisfaction de besoin. Il est aisé de comparer ses besoins à ceux hiérarchisés dans la pyramide de Maslow, dans la quête de l’accomplissement de soi.
Cela induit une forme adapté de suividans la carrière, et donc un mode de management approprié. Repenser les modes de management est alors, une nécessité criante compte tenue des réalités socio-économiques.
L’entreprise d’une manière générale, se droit d’instaurer un nouvel équilibre, intégrant la performance social jumelée à la performance économique. Les hommes qui la compose sont les acteurs de sont succès. Une défaillance deceux-ci dans la réalisation de l’activité est inévitablement nuisible, à l’ensemble de sont bon fonctionnement. Le bien-être est donc l’affaire de tous. La santé psychologique au travail droit être surveillé et traitée dans les organes de direction au même titre que la santé économique.
Cette introspection ne peut se mener sans l’implication des partenaires sociaux ; qui au vue de leur poids dansla vie sociale et économique française sont indissociable d’une sensibilisation réussit, aboutissant à l’élaboration de moyen concret d’action. A cela, une condition complémentaire est retenue ; le développement et l’utilisation des compétences des services pluridisciplinaires de santé au travail. Son importance s’étend d’un bout à l’autre de la chaîne d’intervention, et tien donc de laprévention à l’accompagnement.
A l’issue d’une analyse fine sur 15 grandes entreprises, ainsi qu’une concertation avec les principaux partenaires sociaux et organisations d’employeurs français; nos praticiens H. LACHMANN (président du conseil de surveillance de Schneider Electric), C. LAROSE (vice-président du conseil économique, social et environnemental) et M. PENICAUD (directrice générale desressources humaines de Danone) préconisent 10 propositions en vue d’améliorer la santé psychologique au travail, par l’ajustement de l’efficacité au travail et la recherche du bien-être.
Premièrement, l’implication de la direction générale et de son conseil d’administration est indispensable
Impliquer l’ensemble des acteurs de l’entreprise, passe en amont par l’établissement d’une politique de santé. Laresponsabilité des dirigeants est donc primordiale, notamment pour repenser les modes de management, d’organisation et de vie au travail. L’évaluation de la performance doit alors intégrer le facteur humain, et donc la santé des salariés.
Pour y parvenir, un débat régulier et direct doit se tenir au sein de la direction afin de sensibiliser et impliquer le conseil d’administration annuellementou au moyen d’un comité de responsabilité sociale, crée pour l’examen des questions de santé et de sécurité au travail.
Ensuite, il faut compléter les critères d’attribution de la rémunération variable aux managers dirigeant. Ici l’idée est que la performance sociale doit aussi être prise en compte, en incorporant des indicateurs de santé, de sécurité et de conditions de travail.
De plus, ilest intéressant d’affirmer une culture d’entreprise soucieuse de la santé des salariés, avec un accent mis sur le soin de l’ergonomie du poste de travail par exemple. Aussi, la valorisation du rôle du collectif dans l’évaluation des performances permet de supplanter des indicateurs individuels pathogènes en faveur du lien social. Enfin, il faut définir le bon niveau et la bonne utilisation des…