Methodologie des sciences sociales
Méthodologie des Sciences sociales
Introduction :
Si la réflexion de l’Homme sur la société dans lequel il vit remonte dans la nuit des temps ; la sociologie est néanmoins historiquement datée. Elle commence à prendre consistance au XVIII s. dans le cas d’examen à prétention scientifique sur des faits sociaux. De ce point de vue, il est certes intéressant de revenir sur la Genèse de lapensée sociologique pour redécouvrir le cheminement et processus de construction historique de cette discipline. Il y a auj. autant de sociologie que de questions de société.
Nous nous limitons ici plutôt à répondre à la question suivante « Qu’est-ce que la sociologie ? » (Norbert Elias)
Définir une discipline est toujours un exercice périlleux, la difficulté en l’occurrence tient notamment à lapauvreté du langage incapable de restituer la totalité des faits i.e. non seulement tous les aspects qu’il présente mais aussi les mouvements de leurs évolutions. Elle tient aussi au fait qu’une définition n’est pas nécessairement innocente dans la mesure où elle met en jeu des intérêts perceptibles dans le cadre instit. de la sciences ( Il y a des luttes d’intérêts.
Et c’est justement l’un desapports intéressant de la sociologie plus particulièrement la sociologie de connaissance qui d’avoir pu montrer par quels mécanismes des querelles de définitions/écoles à ce niv. pouvait receler des conflits de pouvoir à conflits d’intérêts.
Il ne s’agit pas de présenter une définition formelle de la sociologie pour la bonne et simple raison qu’il n’existe aucune définition précise.
L’ambitionest donc de se limiter à déterminer la nature du discours sociologique en examinant successivement son objet dans le contexte des Sciences sociales ; sa perspective, et ses moyens qu’ils se doivent pour les réaliser.
Partie 1 : L’objet des Sciences sociales
Les Sciences sociales s’intéressent par définition aux phénomènes sociaux. En principe, ce qui exclu les phénomènes physiques ounaturels. Cet objet englobe les croyances, les représentations, les valeurs, les institutions, les contraintes (ce sont des objets certes juridiques, mais aussi socio.)
En réalité, tous ces phénomènes/faits sociaux se traduisent par des act. humaines. Ils sont en quelque sorte le produit des act. humaines.
En amont, ils ont été créés à l’initiative de l’Homme
En aval, ils influencent plus ou moinsces act.
Dès lors, affirmé que la socio. a pour objet d’étudier l’action humaine quand toutes les Sciences humaines et sociales ravirent à dire qu’elles s’intéressent à ces résultats qu’ils soient d’ordre instit., organisationnel ou de l’ordre des croyances, des val.,…
Ex/ Droit est une construction de croyances autour de symboles (balance…)
Pour large qu’il soit cet objet gagnerait àêtre précisé dans le cas respectif de chacune des Sciences sociales.
Tout n’est pas cependant à prendre dans les actions humaines à la faveur d’une démarche scientifique. Celle-ci ne prend en considération que les actes pourvus de sens, puisque son principal objectif est d’expliquer la réalité sociale.
Les actes erratiques/irrationnels échappent à son champ d’investigation.
Toutefois, desactes irrationnels déviant au gratuit ne sont qu’en apparence et peuvent receler une certaine logique comportementale. Ainsi, s’interroger sur le sens des actes de délinquances (acte qualifié de gratuit) en ce sens que leurs jeunes auteurs se désintéressent de l’objet de leur vol ( école de Chicago, on en dégage la rationalité et propose une typologie des fondements de ces actes.
Dans cet optique,le vol devient par Ex/ une act. ludique ou sportive au risque calculé et destiné à attester la réussite d’un exploit.
Par le vol, et autres actes délictuels, l’acteur accomplit « une action rationnelle en val. » celle-ci étant comprise dans le milieu marginal et contestataire comme une c/ val. dans le but contexte d’une conformité soc. inversée.
Des actions ayant pour auteurs des malades…