Management du changement

janvier 9, 2019 Non Par admin

QUESTIONS | Oui | Non |
1. Pensez-vous qu’en changeant, l’entreprise change d’identité ? | | |
2. Vous interrogez-vous sur les compétences dont vous aurez besoin demain à titre personnel ? | | |
3. Vous interrogez-vous sur les compétences dont votre entourage aura besoin (collègues, pairs, collaborateurs, hiérarchiques) ? | | |
4. Voyez-vous les changements à venircomme des opportunités de développement ou comme des contraintes ? | | |
5. Vous paraît-il facile de comprendre les raisons des changements auxquels vous avez à participer ? | | |
6. Les changements vous apparaissent-ils être décidés en interne ou résulter d’évènements extérieurs à l’entreprise ? | | |
7. Le changement vous paraît-il plutôt inquiétant ou plutôt stimulant ? | ||
8. Que diriez-vous du rythme de changement actuel dans lequel vous êtes impliqués ? | | |
9. Pour s’impliquer dans un processus de changement, faut-il être accompagné ou peut-on trouver soi-même les réponses ? | | |
10. Existe-t-il dans votre entreprise des relations de confiance, vous donnent-elles envie de vous engager ? | | |
11. Est-ce que changer représente uninvestissement important ? | | |
12. Le changement est-il devenu aujourd’hui une nécessité pour tous ? | | |
13. Les changements doivent-ils être appréhendés collectivement ? | | |
14. Peut-on changer lorsque les changements ne sont pas arrêtés ? | | |
15. Y-a-t-il dans votre entreprise des interlocuteurs auxquels vous pouvez vous adresser lorsque vous avez desinterrogations ? | | |
16. La capacité de changer est-elle devenue une compétence indispensable dans le monde actuel ? | | |

Trecca et la démarche qualité
L’entreprise Trecca, une petite entreprise d’insertion, créée en 1989, propose aux industriels des services de sous-traitance (manutention, ensachage). Elle compte six salariés permanents, et de salariés en insertion. Trecca connaît unecroissance de son activité (de nouveaux projets sont engagés, l’entreprise est de plus en plus reconnue dans la région) et, pour mieux gérer cette croissance, elle est amenée à d’engager dans un processus de normalisation qualité et à se réorganiser. Soucieux de l’image de l’entreprise auprès de ses partenaires, ses responsables décident, en 1997, de s’engager dans un travail de mise aux normes pourl’obtention de la certification ISO. Le travail sur la qualité implique la mise en place de procédures et une clarté accrue vis-à-vis de l’extérieur et notamment des clients : « Ecrire ce que l’on fait, faire ce que l’on écrit, et contrôler ce que l’on fait ». Une personne est embauchée, Jacqueline Pascal, pour organiser cette réflexion qualité.
Avant la réorganisation, l’entreprise fonctionnaitplutôt bien, mais de manière assez informelle. Les attributions des tâches et les responsabilités de chacun étaient parfois floues, tout le monde faisant « un peu de tout », ce qui occasionnait parfois des difficultés de positionnement et des conflits. La directrice, Claudine Paris, était assistée d’un responsable de production, Bernard Laffont, et d’un chargé d’affaires récemment recruté, LaurentSerrat, s’occupant à la fois de la prospection et du montage de nouvelles activités. Travaillant également d ans l’entreprise Juliette Letellier, secrétaire comptable, placée directement sous la responsabilité de Claudine Paris, et Annick Delaporte, chargée d’insertion.
Suite à la réorganisation, Bernard Laffont, dont le travail s’est trouvé directement touché par la volonté de mise aux normes, apréféré quitter l’entreprise. Après son départ, une réflexion sur l’organisation a été menée avec les personnes en place, dans la perspective de remplacer Bernard Laffont, mais sans que le nouveau collaborateur ait nécessairement le même profil et les mêmes responsabilités.
De ce travail de réorganisation est née la structure suivante, organisée en quatre pôles :
* Un pôle production…