Rapport de stage en secretariat de direction

décembre 21, 2018 Non Par admin

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Remerciement………………………………………………………………. 2
Dédicaces…………………………………………………………………….. 3
Introduction…………………………………………………………………. 4

Partie I : Informations générales sur L’ONEP

Identification……………………………………………………………….. 6
L’historique de l’onep…………………………………………………….. 7
La structure de l’onep……………………………………………………… 8
Branche d’activité………………………………
Les activités del’onep……………………………………………………. 11
L’organigramme de l’onep……………………………………………… 12

Présentation générale des services de l’ONEP

Présentation des services de la division……………………………… 14

1- Division Industrielle………………………………………………… 14
2- Division Support ……………………………………………………. 15
3- Division Développement………………………………….………. 15
– Service programmation et étude d’AEP ……….…….. 15- Service travaux d’AEP ……………………………………. 16
– Service étude d’assainissement ……………………….. 16

Les services visites……………………………………………………….. 17

Partie II : Travaux effectués

Analyse des travaux effectués …………………………………………19-20

Conclusion……………………………………………………………………. 21

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Avant d’entreprendre la présentation de ce rapport de stage, je tienstout d’abord à remercier tous les fonctionnaires de la Direction Régionale de Tensift, surtout le Chef de la Division Développement Mr YAHYI et son secrétaire Mme SABIR NEZHA, qui m’ont soutenu très fort tout au long du stage.

Je tiens aussi à adresser mes vifs remerciements à l’office de formation professionnelle et de la promotion du travail, pour l’attention qu’il réserve auxjeunes marocaines, à travers les instituts technologies appelées.

Aussi me dois je de remercie vivement Mr :AHMED ELOMARI , le Directeur de l’ISTA JEBEL LAKHDAR les conditions favorables de formation nous avons bénéficiées.

En autre, je tiens à exprimer ma reconnaissance à tout le corps professoral, formateur et formatrices pour l’aide précieux qu’ils m’ont porté.

[pic]Au Maroc, l’eau est un enjeu prioritaire en termes d’accès des plus défavorisés à l’eau potable et de Développement d’un tissu économique en milieu rural grâce à l’irrigation. Mais elle est aussi une ressource limitée et menacée par la pollution.

Préserver au sein de chaque secteur la rentabilité financière des organismes gestionnaires des réseaux tout en favorisant l’accès du plus grandnombre aux services est un véritable exercice d’équilibriste. Le faire en intégrant les redevances de prélèvement et de rejet, récemment instaurées pour lutter contre le gaspillage et la dégradation des ressources en eau du pays, relève de la gageure. Les changements institutionnels nécessaires à la gestion durable de l’eau demeurent malgré tout possibles, cette tache a été confiée à l’OfficeNational de l’Eau Potable pour la gestion du domaine de l’eau.

Quelle valeur de l’eau potable ?

Si la valeur privée de l’eau potable est la même pour chaque habitant, de la côte atlantique au Sahara, il n’en est pas de même de la valeur totale, qui inclut notamment le développement économique de la région concernée. Ainsi, apporter de l’eau dans un village où la population va s’exiler fauted’activités économiques relève de l’acharnement thérapeutique. Discuter de cette valeur de l’eau, même si elle est difficile à évaluer avec précision, permettra de concilier les choix d’allocation et les priorités d’aménagement du territoire.

Cette réflexion permet aussi de mieux comprendre la différence entre la capacité à payer et le consentement à payer. Si l’usager considère que lavaleur du service fourni n’est pas supérieure au tarif proposé, il sera réticent à payer même s’il en a les moyens. Ainsi il est primordial, lorsque l’on poursuit des objectifs sociaux, de proposer des modes de gestion qui correspondent réellement à la demande, c’est-à-dire qui intègrent non seulement les besoins en volume, mais aussi d’autres services adaptés au contexte : tranche…