1920 1929
L’intérim est une situation de précarité qui joue sur l’état d’esprit du travailleur intérimaire. Effectivement selon les témoignages publié dans l’article perçu le 8 décembre 2010 dans « la forceouvrière » ; le niveau sociale et humain n’est pas à la hauteur des espérances. L’arrivée d’un travailleur flexible dans l’entreprise est accusé de faire baisser les salaires et augmenter laproductivité. L’accueil est donc souvent froid, en générale l’intérimaire hérite du travail que les autres salariés ne veulent pas faire, et celui n’a pas autant de considération que les autres au sein del’entreprise, par exemple il a pour nom celui de l’agence d’intérim qui l’emploi ou encore il n’a pas les mêmes dispositions et équipements de travail. Les travailleurs intérimaires ne bénéficient paségalement des formations de sécurité au niveau de l’entreprise ce qui entraînent forcément à un risque d’accident de travail plus élevé par rapport aux travailleurs fixes.
Le suivi médicale d’un travailleurintérimaire fait par l’agence est aussi reprocher, effectivement le suivi médical n’est pas aussi sérieux que celui d’un travailleur fixe, ainsi s’ajoute les demande de visite médicales qui ne sontpas forcément concluante.
L’intérim présente enfin un irrespect de la législation, son activité est probablement le seule hors la loi dont la progression est la plus élevé.
Selon un rapport publiépar la fédération Belge de l’intérim, un travailleur intérimaire peut être victime d’incertitude sur les missions qui lui sont confiées. En effet dans l’attente d’une éventuelle embauche à temps pleincelui-ci fait de son mieux pour atteindre les objectifs commerciaux fixés par l’entreprise, alors que, contrairement aux travailleurs fixes, les intérimaires n’en tirent aucune prime.
L’entrepriseprofiteuse des souhaits des intérimaire se permettre d’en abuser, elle arrive même à modifier et à augmenter les heures de travail du salarié ou encore de ne pas respecter les congés de celui-ci en…