Sos monfort
L’hôpital Montfort a été bâti en 1953. Le travail était divisé comme collaboration mais qui était dite étroite. Les responsabilités était répandu entre la communauté francophone de Vanier mais pour être plus vague, d’Eastview; les pères montfortains; la congrégation des Filles de la Sagesse et enfin les dirigeants de l’Association canadienne-française d’éducation de l’Ontario. Dans le temps,c’était une des seules places avec de la médicine familiale française et c’est vite devenu l’hôpital de choix de beaucoup de francophones. Les choses ce sont biens amélioré parce qu’un peu de temps après l’Université d’Ottawa approche Montfort pour officiellement pouvoir faire de l’enseignement clinique en français. Même si avant cela arrive Montfort participait activement aux activités d’enseignementceci fut un avancement et une avantage.
44 années plus tard quand une épreuve à surmonter se présente grâce au parti politique Progressiste-Conservateur représenté par Mike Harris, le premier ministre de l’Ontario du temps et la Commission de restructuration des services de santé en était accord. Les partis contre ainsi que les organisations, groupes etc. était le comité SOS Montfort maissurtout la présidente, Gisèle Lalonde; le Village électronique francophone. Pour le gouvernement les partis qui ont réagit sont le parti libéral représenté par premier ministre du Canada, Jean Chrétien et le parti Québécois représenté par le premier ministre du Québec au temps, Lucien Bouchard jusqu’à le parti libéral du Québec représenté par le chef de l’opposition du Québec, Daniel Johnson quand çavient au politiques. Autres groupes, administrations, fédérations, etc. sont le ministre de la Coopération internationale et le ministre responsable de la francophonie, Don Boudria; la Fédération des caisses populaires de l’Ontario qui a comme président-directeur général de la fédération, Roger Frenette ; un groupe de gens d’affaires; la congrégation religieuse Les Filles de la Sagesse mais ilparait que ceux qui était le plus fâchée était les citoyen(ne)s.
L’implication de chacun des groupes, congrégations, fédérations, commissions et partis politique dans la fermeture de Montfort en 1997 était incroyable. Tant de personnes ne voulaient pas que le seul hôpital français ferme. Pour commencer, le comité SOS Montfort avait déjà ramassé 15 000 noms en une semaine! Non seulement cela maisle téléphone de l’hôpital était en utilité 24/7! On a vite ouvrit une ligne téléphonique sans frais pour répondre aux questions aux appels nombreux de l’Ontario, hors de la région de la capitale nationale aussi. Ils ont aussi fait un ralliement monstre le 22 mars au centre municipal d’Ottawa pour protester la décision de Mike Harris. Gisèle Lalonde, la présidente du comité de SOS Montfort etpersonnage important dans l’histoire francophone, dit que ce n’est pas un secret que «l’argent, c’est le nerf de la guerre». Elle trouve aussi que «une campagne professionnelle» est essentielle pour les francophones pour avoir l’air professionnel et selon ses mots, ne pas «avoir l’air kétaine». Son opinion est que le document de l’hôpital auprès des politiciens du Canada démontre que ce n’est passeulement quelque chose qui concerne la région mais plutôt que c’est: «C’est un problème qui concerne le Canada.». Elle refuse carrément n’importe quel compromis avec Mike Harris et son gouvernement: «Jamais! On ne veut pas de compromis. Jamais on n’abdiquera.».
Les efforts ne sont pas finis. En plus de cela, le Village électronique francophone a même ajouté SOS Montfort à sa disposition pourfinalement ouvrir un site Web. Ce site laissa le publique de trouver des nouvelles récentes sur les protestations et comment il avance dans le document de fermeture de l’hôpital. Ils ont aussi créé une adresse de courrier électronique pour communiquer avec SOS Montfort intitulée [email protected].
Une des choses qui a été très remarquable est l’implication du gouvernement canadien. Non…