Partout dans le monde

décembre 22, 2018 Non Par admin

PARTOUT DANS LE MONDE ….

FR 3 THALASSA DU 20/02/2009 LES ENFANTS PERDUS DE M’BOUR

Depuis cette émission, j’ai décidé de mettre en place pour ma retraite en Avril 2011, bénévolement un réseau de Porte Paroles volontaires, auprès d’importantes Entreprises en France, Belgique, suisse, Luxembourg et Allemagne.

Pour une meilleure approche de cette opération , il faut :

1° Voir l’émission de Thalassa FR3 disponible en vidéo sur le site www.kewego.fr Thalassa du 20/02 : Les enfants perdus de M’bour .

2° Lire l’article du Journal Le Quotidien du 3 Juillet 2008.

3° Parcourir les centaines de réactions suite à la diffusion du reportage de Thalassa le 20/02/2009 sur Fr 3 sur le site forums.france3.fr › … › Thalassa
dont les deux commenaires ci dessous me semblent les plusréalistes :

theycallme pat Posté le 20-02-2009 à 22:49:45
mariamazug Posté le 20-02-2009 à 23:03:59

4° prendre conaissance des principaux contours tracés pour la mise en
œuvre de ce projet .

FR 3 THALASSA DU 20/02/2009 LES ENFANTS PERDUS DE M’BOUR

1° Voir l’ émission de Thalassa FR3 disponible en vidéo sur le site www.kewego.fr Thalassa du 20/02 : Les enfants perdus deM’bour .

2° Lire l’article du Journal Le Quotidien du 3 Juillet 2008.

Article du journal
LeQuotidien : Jeudi 3 Jui 2008

MBOUR – Mendicité, petits métiers,… : Les enfants exposés aux abus et à l’exploitation
LeQuotidien : Jeudi 3 Jui 2008

Dans les rues de Mbour, il est extrêmement difficile de se promener sans pour autant croiser des enfants à la recherche du pain quotidien. Etpour ce faire, tous les moyens semblent être bons pour ces mômes dont la tranche d’âge tourne autour de 7 à 12 ans. Entre mendicité, petits métiers comme laveurs de voitures, porteurs de bagages, vendeurs d’eau, entre autres, ces enfants sont ainsi exposés à toutes sortes de risques, puisque livrés à eux-mêmes. C’est la porte ouverte au grand banditisme. Les journalistes africains qui participaientau séminaire de formation sur le thème «droits des enfants et médias» s’en sont rendu compte lors d’une visite de terrain effectuée dans différents sites.

Il est presque 11 heures passées, les trois véhicules qui transportent les journalistes arrivent à la gare routière de Mbour. Zone à forte fréquence touristique, la ville de Mbour, qui est située à 83 km de Dakar, est un pôle d’attraction dufait de sa situation économique, parce qu’étant la capitale du tourisme balnéaire et de la pêche artisanale. A ce moment de la journée, le soleil impitoyable ne manque pas de darder ses rayons sur les passants. Entre véhicules et marchands, deux frères Oumar et Abdourahmane vendent des sachets d’eau pour, disent-ils, venir en aide à leur maman. Cette activité, les enfants dont le père vitprésentement à Dakar, le font tous les jours non ouvrables. Le plus jeune, Oumar, 10 ans, élève en classe de Ce1, arrête instantanément l’entretien pour aller vendre un sachet d’eau qui coûte 10 francs Cfa à un client. «Je ne suis pas obligé de vendre cette eau. Je le fais juste pour aider ma mère», confie-t-il, avant de souligner que plus tard, son souhait est de devenir tailleur. Son frère aîné,Abdourahmane, 12 ans, en classe de Ce2, confie, lui aussi, que leur maman, les autorise à aller jouer avec leurs camarades. Mais l’enfant, n’aura pas le temps de terminer la discussion, car un adulte vient de nous l’arracher sous le prétexte qu’il parle à des inconnus.
Comme ces deux enfants, plusieurs autres fréquentent cette gare routière, à l’image de El Hadji Top. Cet enfant talibé est originaire dudépartement de Kaffrine. El hadji Top, visage pâle, pieds nus, le corps recouvert de boutons et de plaies, les habits sales, reflète le vécu quotidien de certains mendiants. Depuis son arrivée à Mbour, ses parents, qui l’ont confié à un maître coranique, ne sont jamais venus s’enquérir de sa situation. A l’en croire, lui et ses camarades sont obligés de tendre les bras pour avoir de quoi se…