Metaphysique texte
Métaphysique – S5
Manque cours du 17/09/2010
23/09/2010
II) La relation entre Nietzsche et Schopenhauer
1. Une culture de la Sainteté
Qu’est-ce que faire un homme dans la modernité? On ne peut pas faire un homme sans maitre mais ce maitre n’en est pas un s’il ne conduit pas à une surhumanité.
Dans le texte on y voit émergé quelque chose de très étrange car d’une part Nietzschedéveloppe une culture de la sainteté ( Nietzsche célèbre Schopenhauer) ; d’autre part en quoi l’œuvre peut être concerné par cette notion de sainteté. En 1976, Nietzche adhère totalement à cette forme de sainteté alors même qu’il est complètement contre toute forme de religion.
2. Un nouveau système
Loin de se réduire à un homme, Schopenhauer propose un système de l’existence humaine. Il ya une philosophie de Schopenhauer et pas seulement un geste de sa part. Schopenhauer n’est pas seulement un destin, c’est un savoir. Schopenhauer met d’emblé les horizons de savoir dans l’évaluation du besoin métaphysique dans le Texte. On trouve une rupture forte à l’égard des pouvoirs religieux.
III) L’accès à la Métaphysique
A/ Epsilon d’Aristote et son onto-théologie
1. Larecherche d’une philosophie générale
Mais on s‘aperçoit de la référence à un autre texte, Schopenhauer cherche à s’appuyer sur Epsilon de la métaphysique d’Aristote. Schopenhauer cherche à quel condition une philosophie première peu être élaborée. Il se heurte à une difficulté = le mot onto-théologie. Quel est le savoir qui peut correspondre à la philosophie première selon Aristote? C’est la physique,qui est la science des êtres en mouvement, l’horizon de l’expérience de l’être: c’est précisément une physique général. Soudain le texte bifurque: ce mouvement en faveur de la physique se trouve suspendu sur une réalité factuelle. Il ne s’agit pas d’un fait de la raison, il y a un fait qu’on peut qualifier de fait cosmique ou même de fait divin. Ce fait = « mais il y a un être immobile ».Evidemment, l’interrogation inquiète ; l’être se heurte à se fait. S’il y a un être qui n’est pas en mouvement, il en découle que celui qui est le plus stable doit être l’objet de la philosophie. On se trouve privé de philosophie générale ; l’être immobile devient l’Objet d’étude la philosophie première ( c le point cardinal). C’est l’entrée de Dieu dans l’histoire de la philosophie dans sa dimensionimmobile et éternelle.
2. L’accès à l’universalité grâce à la philosophie première
Aristote se souvient alors que la science première doit être universel! Si la question de l’être est universel, est-ce que le fait d’étudier Dieu n’est pas en train de trahir la promesse d’une science universelle? Le discours n’a pas basculer d’une science universel vers une science ultra-particulariste. Eneffet, Aristote a alors un coup de génie qui marque la philosophie jusqu’à Kant: il ne trahit pas a promesse parce que il fait une philosophie première qui touche un être éminent et cette philosophie est universel parce que première. Le tournant philosophie se produit dans ces termes = au lieu que je connaisse la généralité des êtres sur un mode horizontal, je vais suspendre ma quête de l’universel àla domination ou à la souveraineté que le divin exerce dans sa transcendance sur toute les choses. Je vais la connaître comme universelle cette science car elle est suspendu à la substance mobile. L’universalité est gagné par un détour. C’est parce que j’examine la causalité de la substance première sur les Étant que je peux prétendre accéder à une science première et universel. Pourquoi cepassage capital s’intitule « structure Onto-théologique… »? Pour comprendre l’être, il faut comprendre le 1er parmi les être cad Dieu.
B/ Schopenhauer et son onto-somatologie
Problématique: ayant pris connaissance que Schopenhauer renonçait à toute fondation théologique, comme se fait-il qu’il estime que le texte d’Aristote est la structure la plus fine et la plus intérieur de son système?…