Marketing livre blanc
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Livre blanc
Le marketing comportemental
30 annonceurs témoignent
Laure Gaillard
Retrouvez les témoignages par société :
G 3Suisses.fr David Edouart, chef de département marketing multicanal ………..34, 56, 67, 84, 86, 92, 96, 97, 105, 107 G Acxiom Didier Grilo, directeur conseil, et Sarah Wanquet, directrice juridique ..26, 27, 116,137 (partie 6.2) G Batirenover (groupe Lafarge) Régis Bourdot, directeur opérationnel ………………………….68, 73, 90 G Club Med Jérôme Hiquet, directeur internet & CRM……50, 69, 81, 90, 95, 104 G Crédit Agricole Centre France Sébastien Confesson, responsable des études marketing G Crédit Mutuel…………………………………………………………….75, 76 G DiscounteoFrédéric Box, responsable marketing et développement ………………………………………………..51, 85, 88, 89 G Empruntis Patrice Thiriez, directeur marketing…………………………………..60, 72 G Estée Lauder Companies Bruno Alazard, directeur internet et CRM………………50, 57, 60, 104 G Eurostar Group Lionel Benbassat, directeur marketing et ventes France ……..46,87 G Facebook France Damien Vincent, directeur commercial ………………………………….113 G Fnac.com Mathieu Staat, directeur marketing .36, 67, 68, 79, 82, 94, 104, 107 G Go Voyages Service Victor Aumaitre, responsable marché France………………60, 99, 110 G Groupe Beaumanoir Erick Bourriot, responsable internet, e-commerce & CRM ……………………………………….34,48, 61, 71, 84 G Groupe Seloger.com David Labrosse, directeur marketing…………………..70, 74, 106, 108 G Haas société d’Avocats Maître Haas, avocat à la cour ……………………………..121 (partie 6.1) G Havas Digital Gaetan Ovigneur, DGA expert digital display / search ……50, 94, 95
… la suite sur le second rabat
PRÉFACE
Conscients de l?évolution des technologies et dupouvoir qu?elles confèrent aux marques, les consommateurs sont de plus en plus exigeants. Les annonceurs quant à eux sont à la recherche d?une plus grande efficacité. En permettant d?identifier et idéalement d?anticiper les besoins, en analysant les réactions ou l?absence de réaction, le marketing comportemental contribue à recentrer l?annonceur sur les attentes du client et l?aide à orienter sondiscours sur des cibles en affinité. Les gagnants de cette démarche sont des deux bords. D?une part l?annonceur concentre et maîtrise mieux ses investissements ; d?autre part les consommateurs trouvent plus de sens dans la communication ou la publicité qui leur sont adressées. Chaque contact avec la marque crée l?opportunité d?une analyse comportementale et éventuellement d?une réaction adaptée del?annonceur avec un message pouvant être personnalisé. Les comportements des prospects et clients peuvent être analysés à deux niveaux : • Un premier niveau, relativement stable dans le temps, qui met en valeur une connaissance approfondie des consommateurs et que justifient la notion de « capital client », l?efficacité des approches de marketing direct et la mise en œuvre de bases de donnéesmarketing. • Un second niveau, plus dynamique, nécessitant la re-connaissance de ce consommateur, à l?endroit où il se trouve et au meilleur moment. Cette reconnaissance met en évidence une forme de « capital relationnel » qui vient enrichir le « capital client » tout au long de son cycle de vie. Les annonceurs peuvent ainsi travailler sur deux plans de communication complémentaires : l?un planifié autourdes événements de la marque, l?autre, organisé au fil de l?eau autour des événements client. La montée en puissance de la communication ou de la publicité comportementale se veut généralement progressive, l?analyse des retours sur investissements successifs permettant d?optimiser un dispositif de plus en plus performant et sophistiqué. En tant que partenaires de cet ouvrage, nous avons collaboré…