Litterature
THE DEVIL
Bonjour, je me présente , « ARES » , trente ans comptable. Je n’avais jamais penser qu’il puisse exister un monde parallèle au notre , ou encore que la volonté humaine puisse en elle-même être diabolique .
En tout cas , laissez moi vous conter mon histoire.
Je me réveillai comme chaque matin, dans les bas d’une nouvelle conquête, celle-là, ouh…inoubliable; jeuneblonde de vingt six ans aux yeux bleus , je vous laisse imaginer le reste.
Bref, je me dépêchai de me préparer et couru au boulot . Comme chaque matin, j’étais en retard au travail,
Et comme chaque matin , je me fis grondé par mon supérieur, Mr…euh.., enfin , oublier cela, son nom était tellement difficile à prononcer que je ne m’en souvenais plus, euh…en fait, j’avais jamais pris la peine de le10mémoriser. Je filai dans mon bureau. A peine y étais entrer, que je remarquai la présence d’une femme: _ Ah!! Bonjour ARES, ça fait près d’une heure que je t’attend . Je peux remarquer qu’avec ton air de cocker allemand, tu t ‘es encore fait grondé par le patron…cette fois tu as trouvé quelle excuse? ; ah cette bonne vieille ELISE; ma seule collègue de travail qui à toujours la pêche levendredi matin, pendant que tout le monde est fatigué et pense déjà à prendre son week-end . Mais je me dois de vous préciser qu’ ELISE est une délicieuse jeune demoiselle.
15_ Bonjour, miss!! Cette fois-ci, c’était la pane de réveille! Mais dis- moi, tu n’es pas venu ici pour me parler du patron!; tout à coup mon regard après une longue inspection de mon interlocutrice s’arrêta sur une pile dedossiers, qui,si je me souvenais bien, n’était pas installée hier soir sur mon bureau en finissant mon travail. J’avancai de pas mal assurés vers mon bureau, je furetai rapidement les nouveaux documents sous mes yeux, apparemment ce n’était qu’une paperasse routinière dont je devais m’acquitter.
20_J’ai déposé sur ton bureau comme tu peux le constater, le bilan de gestion du nouveau projet proposépar le conseille, tu n’auras qu’à faire des statistiques sur les risques et dépenses encourus, signer et me
Renvoyer une copie des documents signer et revu. Bon je vais devoir te laisser, j’ai une tonne de travail qui m’attend, by à plus…
_Euh…attend ELISE, je voulais te demander ce que tu feras ce soir; Si çà ne te dérange pas, on pourrait ce faire un restau, puis un ciné? Enfin vu qu’on estvendredi…
_Déjà vendredi! Le temps passe vite! Bon, ok, y a pas de problème, passes me prendre chez moi à sept heures! Donc, on se dit à tout à l’heure!
Je m’habillé devant la glace, chantonnant, fière de l’image que j’offrais de ma personne, quand j’entendis des bruits venant de tous les coins de ma chambre. Je tournis ma tête de chaque côtés afin de percevoir leur 30provenance!, mais rien,je n’y arrivais pas. Des voix, oui, c’était bien des voix, d’hommes, de femmes, d’enfants, et même de personnes âgées. « Tu es des nôtres… », disait l’une, « ARES, tu es des nôtres », disait une autre; « non, il n’est pas des nôtres… » disait une voix de vieille dame; « si… » reprit une autre « il est identique à nous.. ». Je pris peur, et crier pour me rassurer de ma lucidité _Qui êtes vous? Etque me voulez-vous? Laissez moi! Une voix de fillette me répondit « mais nous sommes toi… », Je me retourné vers le 35miroir afin de me persuader que je n’étais pas fou, j’aperçus à travers la glace mon reflet, oui, c’était bien moi, homme physiquement identique à moi sans pourtant être moi. C’était moi, sans être moi. Ce moi me souris, puis prenant un air maléfique s’adressa à moi tel l’archangerebelle dans toute sa splendeur, « bonjour ARES, tu dois te demander qui je suis? Ou encore penser que tu deviens fou, mais ce n’est pas le cas, je suis toi et c’est tout, je suis la partis sombre que tu cachais en toi depuis toutes ces années. Refoulant tes envies tu as créer délibérément un monde, oui, une sorte de dimension parallèle à la tienne dont je suis le maître. Ouh… quelle maladresse…