Liste des oeuvres de moliere
QUI TRADUIRE ? COMMENT TRADUIRE ? POURQUOI TRADUIRE ?
Dans ce texte, l’auteur nous parle de l’activité de la traduction. Premièrement, on voit le lieu de la traduction dans son contexte historique.Après, on voit quelques approches comme celle de Jakobson qui a établit trois formes de traduction comme traduction intralinguistique, traduction interlinguistique, et traduction intersémiotique.Mais quand on arrive à la deuxième moitié de xx. Siècle, on voit les trois générations dans les études de traductologie envisagés par Siri Nergaard.
La première qui se développe entre les années 1950et 1960 est influencée par les expériences de la traduction automatique.
Ce qui s’agit d’une réflexion non prescriptive à partir du statut pratique de la traduction est apparue à la fin des années1970.
Mais, l’apparition d’une véritable discipline qui appartient à la traduction se réalise dans les années 1980 que l’on nomme comme la troisième génération de Nergaard.
Et aussi, on voit desdifférentes approches comme celle de Nida, de Meschonnic, de Steiner qui parle de la « zone moyenne de la translation ».
De cette zone moyenne, H. Besse voudrait créer une catégorie propre en divisant lesmodes de traduire à partir de trois critères.
Avec ces modes, il essaye de s’agir de la traduction didactique qui est plutôt l’affaire des enseignants de la langue, de la traduction pragmatique quiest plutôt l’affaire des interprètes ou des traducteurs, et de la traduction poétique qui est l’affaire des écrivains.
Apres ces informations, on voit des méthodes qui sont utilisées dans la formationdes langues comme la méthode traditionnelle, la méthode directe et les méthodes audio-orales avec lesquelles l’on voit l’approche behavioriste qui est l’imitation des comportements.
De plus, l’auteurpasse à l’analyse des textes de communication. Et on voit le triple processus de la traduction de M. Lederer : la compréhension, la déverbalisation, et la réexpression du sens. D’après lui,…