L’ile des esclaves
Les didascalies permettent de comprendre que l’espace scénique est redéfini. On comprend que les valets vont utiliser une partie de la scène et l’autre partie sera occupée par lesmaîtres : il y a donc deux territoires, celui des maîtres et celui des valets. Arlequin et Cléanthis jouent une pièce à l’intérieur de la pièce. Ils veulent recréer une sorte de théâtredans le théâtre.
Les spectateurs ne sont autres que les maîtres (Iphicrate et Euphrosine). On insiste beaucoup sur leur présence. On fait régulièrement allusion à eux. Iphicrateprend une fois la parole.
On insiste constamment sur le fait que les maîtres sont là et qu’ils sont spectateurs. En effet, pour ne pas oublier leur présence, on a de constantes allusionsà eux : ils prennent la parole, la présence des didascalies ou encore, à travers les paroles des valets. En revanche, ils ne sont que spectateurs et n’ont aucun pouvoir d’action.Les didascalies permettent de comprendre que l’espace scénique est redéfini. On comprend que les valets vont utiliser une partie de la scène et l’autre partie sera occupée par lesmaîtres : il y a donc deux territoires, celui des maîtres et celui des valets. Arlequin et Cléanthis jouent une pièce à l’intérieur de la pièce. Ils veulent recréer une sorte de théâtredans le théâtre.
Les spectateurs ne sont autres que les maîtres (Iphicrate et Euphrosine). On insiste beaucoup sur leur présence. On fait régulièrement allusion à eux. Iphicrate prendune fois la parole.
On insiste constamment sur le fait que les maîtres sont là et qu’ils sont spectateurs. En effet, pour ne pas oublier leur présence, on a de constantes allusions àeux : ils prennent la parole, la présence des didascalies ou encore, à travers les paroles des valets. En revanche, ils ne sont que spectateurs et n’ont aucun pouvoir d’action.