Les fleurs du mal
Dans les années 1800, plusieurs changements politiques on eues lieu, la société était lancée de tout bord tout coté avec la révolution, la restauration et les autres renversements majeurs à cetteépoque. La façon de pensée allait toute dans le même sens. Il ne fallait pas dire à haute voix nos pensées et il fallait encore moins le faire dans un recueil de poème que l’on veut mettre en marché.Baudelaire la fait. En effet, dans son recueil les fleurs du mal publié en 1857, il est souvent question de mort de mal ou encore, il décrit parfois la femme comme étant le bon et d’autre fois commeétant le mal. Il le fait aussi des deux façons en même temps. Dans les poèmes «Parfum exotique» p.49 et «À celle qui est trop gaie» p.67, cette façon de présenter la femme est mit en évidence.
Dans unpremier temps, la femme est présentée dans le poème «À celle qui est trop gaie», comme étant un être aimé. En effet, Baudelaire présente son amour pour la femme pendant la majeure partie de sonpoème. Il accorde à l’amour de la femme présenté les 15 premières strophes dans laquelle il ne parle que du bien qu’elle lui fait ainsi que l’image qu’elle projette et que du même coup, le plaisir qu’il a àregarder cette dame. Il le fait, d’abord, en faisant une comparaison, dans la première strophe du poème avec la nature. Il le fait au vers 1 et 2 avec l’allure qu’à cette femme, soit son visage etses façons d’agir avec ce qu’il dit si bien dans le deuxième vers, qu’elles sont : «Beaux comme un beau paysage». De plus, il continue en parlant de son sourire avec les 2 vers suivant. «Le rire joueen ton visage/ Comme un vent frais dans un ciel clair.» Dans le cas de ces vers, Baudelaire utilise la comparaison à un vent de fraîcheur qui fait du bien et qui éclairci nos idées. De plus, dans ledeuxième poème, «Parfum exotique» le même phénomène ce produit face à Baudelaire et sa perception de la femme, il le fait cependant à l’aide de sensation. Il compare sa femme à l’odeur et la…