L’alcolisme, une maladie authentique
INTRODUCTION :
. l’alcoolisme considéré comme une maladie car engendre une altération, des troubles de l’organisme.
. considéré comme une maladie d’incidence sociale.
. manifestationsphysiques, voire pathologiques et psychologiques et conséquences autant sur l’individu que sur la collectivité (annonce du plan)
DEVELOPPEMENT :
a) Les manifestations
. physiques : Peut procurersensations agréables mais de courte durée ; L’alcool abîme certains organes (foie…) et affaiblit l’organisme. Risques accru de maladies cardio-vasculaires, de cirrhose, de coma éthylique, de cancers…Plus grande sensibilité à certaines pathologies (tuberculose…).
. psychologiques : Provoque accoutumance puis dépendance, agit donc comme une drogue. Peut amplifier agressivité, violence,accentuer dépression, conduire à des gestes extrêmes, à des comportements dangereux pour l’individu et son entourage.
Faites une transition soignée entre les deux parties de façon à ne pas passer du coq àl’âne.
b) Les conséquences
. Individuelles : Nuit à la santé de l’individu, impact sur la vie professionnelle, pas d’avancement voire perte de l’emploi, conséquences dans la vie familiale,détournement d’une partie des revenus, comportement agressif ou indifférence et « démission » d’un rôle au sein de la famille.
. Collectives : Conséquences financières : coût pour la société, soins etéventuelles cures de désintoxication, coût des journées d’arrêt de travail du malade, coût concernant les blessures, et les arrêts de travail de ceux à qui il peut causer des accidents (travail, accidentsvoiture…), coût pour l’entreprise où il travaille (indemnités, clientèle, coût de formation d’un nouvel employé…). Conséquences humaines : dommages physiques et/ou psychologiques (accident devoiture, agressivité…)
CONCLUSION :
Alcoolisme est une maladie à envisager et à soigner comme telle ; problème de société car lié à l’accroissement de l’insécurité routière et aux difficultés…