La violence est-elle une fatalité liée à la condition humaine ou un produit de notre société
Avant de commencer, qu’est-ce que la violence ? La violence est le caractère de ce qui se manifeste, se produit ou produit ses effets avec une force intense, brutale et souvent destructrice.
Noussommes tous conscient que la violence est aujourd’hui présente dans notre société. Mais la question que l’on se pose est, l’homme a-t’il toujours été violent ou est-ce le monde dans lequel nous vivonsaujourd’hui qui en est uniquement la cause ?
Je pense que la violence a toujours été en l’homme mais que celle-ci a évolué avec lui,car je crois que la société dans laquelle nous vivonsaujourd’hui ne fait qu’accentuer la violence. Pour ma part, je trouve qu’il y a deux formes de violence : la violence indispensable face à un danger quelconque et la violence due a la difficulté de s’intégreret au manque de communication.
Je commencerai par vous parler de la violence chez l’homme préhistorique, je suivrai avec la violence représentative de la « loi du plus fort » et comme étant un moyende prouver sa force et je terminerai en parlant de celle-ci dans le monde actuel.
Tout d’abord, si je dis que la violence a toujours été en l’homme, c’est parce que l’on sait que l’hommepréhistorique, pour se défendre ou pour se nourrir , devait recourir à la violence. Il agissait naturellement et n’avait d’autre choix pour survivre que de tuer des animaux. Les hommes étaient aussi violentsentre eux et ce, toujours pour se défendre ou pour défendre son clan. Cette forme de violence était indispensable à la survie de l’homme préhistorique.
Ensuite, il me semble que la violence estdevenue peu à peu un symbole de puissance et une façon de montrer sa supériorité et ses possessions. L’homme se bat, blesse et même tue pour acquérir un territoire ou un pouvoir, pour arriver à sesfins. C’est la loi du plus fort. Il veut pouvoir s’affirmer et s’imposer, montrer qu’il est fort. Certains usent de violence pour exprimer leur désaccord, leur mécontentement. Je pense que le manque de…