La littérature vue par pierre mertens

janvier 12, 2019 Non Par admin

La littérature vue par Pierre Mertens

Pierre Mertens, par l’extrait de son œuvre «l’agent double », a voulu exprimer sa conception littéraire en faisant appel à des noms, qui pour lui, évoquent sadéfinition propre de la littérature.
Avant même cela, en tant que lecteur, je comprends à quel point la littérature est un élément important pour l’auteur car il caractérise les livres comme l’amile plus fidèle et assure que ceux-ci nous abandonneront jamais.
Mertens se dit ancré et hanté par ses livres par ce qu’il n’en est toujours pas guéri des ses dernières lectures. Il illustre cephénomène par des artistes avec lesquels il a été marqué. Comme par exemple Homère, qui pour l’auteur, est toujours aussi nouveau alors que c’est un poète du VIIIe siècle av. J.-C. Il y a aussi Shakespeare,qu’il décrit comme inédit c’est-à-dire nouveau et révolutionnaire alors que bien bon nombre d’artistes plus récents ont créé des œuvres théâtrales.
Ensuite, sont exposés le pouvoir et l’influence que lalittérature possède en mettant avant le personnage de Don Quichotte et de Mme Bovary.
Car l’un est décrit comme fou après avoir lu des récits de chevalerie et l’autre est décrite comme trop rêveuse àcause des histoires d’amour lues. En citant les personnages des œuvres, l’auteur essaierait-il de viser l’auteur de celles-ci ?
Pierre Mertens insiste sur l’indispensabilité et même la nécessité dela littérature en évoquant Simon Weil qui a proclamé que nous avons besoin de la poésie comme nous avons besoin du pain. L’auteur appuie cette théorie en ajoutant la réponse de Bachmann qui étaitd’accord et qui a rajouté qu’il fallait que le pain grince entre nos dents, il faudrait donc qu’on ait du mal à avaler l’histoire.
Il utilisera Kafka et Borges pour faire le lien entre la divinité et lalittérature s’aidant de Kafka pour faire référence à la séparation de la mer rouge avec la phrase « … un livre devrait être comme une hache pour briser la mer… » Et de Borges pour faire…