Jamais d’autre que toi robert desnos
anaphore de « jamais d’autre que toi » rythme le poème comme litanie
v1 on peut parler de paysage état d’âme? (solitudes, étoiles)
jeu de reprise « en dépit », de mutilations d’arbre, concret, renvoieau fait de graver dans l’écorce? nature comme témoin de l’amour, peut on le rapprocher du Lac de Lamartine
nuit rappelle étoile
chemin: concret mais aussi métaphore fréquente du chemin de la vie quel’on partage avec quelqu’un?
De nouveau double lecture ombre grandit concrètement mais aussi « ombre » comme souvenir qui grandit?
Jamais d’autre que toi anaphore futur associé a négation, futur niétemporalité liée au cycle naturel « a la tombée de la nuit », « a l’aube »
saluer = rapport à la nature, bienveillance
« errer » « ténébreuse » opposé a « marcher vers l’écume »
= retrouver sérénité? ousimplement promenade?
main front yeux sensualité
« yeux » vers court mis en valeur mais comment l’interpréter?
(car utilise images visuelles?)
nier (toujours sous le signe de la négation) voue fidélitééternelle
pas compris métaphore du navire :s
jamais d’autre que toi, clos premier mouvement
Changement de mouvement du poème
aigle symbole impérieux mais surtout vole, liberté
ici prisonniercage barreaux ronger avec répétition [j]
« quelle évasion » court, mis en valeur + exclamation, antiphrase
Mais pourquoi sentiment d’enfermement? prisonnier du souvenir?
(inspiration comme l’Albatros?)
dimanche chant du rossignol, a interpréter?
« bois vert tendre », a opposer à « forêts ténébreuses »?
pas compris ennui des petites filles :s
De nouveau image de la cage, jeu sur la polysémie deserein = oiseau souvent élevé en cage mais aussi antithèse agiter et serein = calme
mais qu’en tire t on?
« dans les bois », « tandis que dans la rue », opposition de deux lieux, paysage devient urbain »rue », « trottoir », « banlieue », pourquoi?
personnification avec solitaire, se rattache à rue ou à soleil?
faut il étudier cela (et comment?):
on passe de nuit à soleil
« lentement » déplce reprise…