Institution familliale

décembre 18, 2018 Non Par admin

1. Comment sur base de ce que nous avons vu et de votre réflexion doit-on envisager l’approche du sujet dans son cadre familiale et/ou social ?

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Je pense qu’on ne peut envisager une approche objective du sujet sans approcher ou du moins tenter de comprendre son cadre familial et/ou social car le 1er lieu de socialisation du sujet est la famille. C’est dans la famille qu’il intègre lesnormes et valeurs de son groupe d’appartenance et construit son identité social. C’est de ce processus que dépendra son intégration au sein d’un groupe et plus largement de la société toute entière. Je pense qu’on ne peut gérer un problème quel qu’il soit qu’en le prenant à sa source, si on envisage une approche du sujet qu’il soit mineure ou majeure, il est toujours intéressant de savoir dansquoi baigne ou a baigné le sujet. Si le sujet vient d’une famille traditionnelle, monoparentale ou gay est-ce que ces différentes structures familiales véhiculent les mêmes normes ou valeurs ? Cela permettrait d’avoir certains paramètres qui aideraient à une mise en place d’un projet adapté au sujet au cas où celui-ci en nécessiterait un. La meilleure approche du sujet dans son cadre social et/oufamiliale reste une observation attentive de son comportement par l’éducateur ou le corps enseignant lorsqu’il est en interactions sociales avec ses pairs et pères lors de réunion par exemple.

2. En quoi selon Vers quoi va évoluer l’environnement familial en occident selon vous et vous la position de la femme sera déterminante par rapport à cela ?

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La famille traditionnelle a quelquepeu perdu le monopole des sociétés occidentales. On constate que jusque dans les années 1960 le mariage était roi, par contre à partir des années 1970 on assiste à une chute du nombre des mariages et remariages. La société a permis au model familial d’évoluer vers d’autres schéma que le schéma traditionnel du mariage auquel s’ajouterait les naissances. En autorisant l’insémination artificielle,l’apparition des banques de spermes, des mères porteuses… la société propose en quelque sorte aujourd’hui différente schémas de vie possible et compatible aux différentes personnalités qui compose cette même société. En les proposant, la société les accepte et plus encore cela voudrait dire que toute famille quelle qu’elle soit est reconnu par la société d’aujourd’hui au même titre que la familletraditionnel, ce qui n’aurait surement pas été le cas dans les années 1960. Autrefois, la pression sociale obligeait les jeunes au mariage, aujourd’hui au contraire les parents trouvent souvent leurs enfants trop jeunes pour le mariage s’ ils n’ont pas passé le cap de la trentaine et cela s’observe même de plus en plus même dans les familles maghrébines où l’âge des jeunes mariés avoisine de plus enplus les 25-30 ans pour les filles et la trentaine passé pour les garçons ce qui autrefois été mal perçu (filles/garçons de mauvaise famille !). Ici est bien la preuve que les mentalités évoluent et si elles évoluent c’est parce que la société les incites au changement. Autrefois dans un couple marié, une femme adultère était puni d’une peine de prison mais qu’en était-il pour un l’homme adultère ?Je me hasarderais sans peine à dire qu’il n’avait surement rien à craindre dans une société puissamment patriarcale. Partons de l’hypothèse selon laquelle la femme se sentait prisonnière d’un mode de vie inégalitaire entre elle et son conjoint, entre elle et les les hommes, privés de libertés auxquelles elle aspire. Ces inégalités ont engendrés un profond mal aise des femmes qui vont peu à peumener ces dernières à vouloir acquérir leur autonomie. Durant ce dernier siècle, l’évolution du statut social de la femme à contribuer à l’évolution des structures familial, le mariage n’étant plus une condition d’accès à un statut social pour la femme. La position de la femme à été déterminante par rapport à cette évolution de l’environnement familial car la contestation du mariage vient…