Femmes
C’est arrivé un Jeudi après-midi, un jour aussi banal que les autres, lorsque la police est débarqué chez mes voisins les Roger. Des gens sales, malpropres, avec qui rien n’était simple. Je me suistoujours demandé comment ils pouvaient payer leur maison puisque dans un quartier de »plein de cash » comme le nôtre ces gens de la seconde classe, comme les résidents les nommaient, n’avaient aucunrapport avec nous. Je savais depuis longtemps que quelque chose se tramait dans leur maison mais quoi exactement, ça je l’ignorais. Quand j’étais enfant, je jouais régulièrement avec une petite fillequi habitait avec les Roger mais du jour au lendemain, sans savoir pourquoi, cette petite blonde au yeux verts pétillants, ne vivait plus à cette endroit. J’ai fini par oublier cette époque de ma vieun peu trop »rock and roll » pour une enfant de 6 ans. Les années ont finie par passer et j’avais complètement oublié que Paméla avait fait partie de ma vie pendant quelques temps et, qu’à cetteépoque, elle était ma meilleure amie. Plus je regardes à l’extérieur plus je me demande pourquoi tout se branle-bas de combat à côté de chez moi. On peut compter facilement 4 ou 5 voitures de polices, 2ambulances et une tonnes de journalistes aussi passionné les uns que les autres, sans compter les curieux tous entassés derrière le périmètre de sécurité. Je passe un certain temps devant ma fenêtreavant d’apercevoir mes voisins, Hélène et Gaston Roger, menottés aux poignets et traîné de force par les policiers présent sur les lieux. Tous les gens présent se posaient la même question, qu’est-ce queces gens on bien pu faire pour être arrêté ? Dans ma tête d’étudiante universitaire, je ne croyais pas que ce que j’allais découvrir allait m’atteindre aussi fortement.
Les gens criaient, jevoyais même ma mère pleurer par la fenêtre puisqu’elle c’était jointe aux curieux présent en face de ma demeure. J’ai alors remarquer que les ambulanciers faisaient le va et vient entre la maison des…