Est-il vrai d’affirmer que, dans le survenant, le bonheur réside dans le nomadisme ?

novembre 19, 2018 Non Par admin

Étape 1 : Plan du développement
Argument principal 1
Le survenant, en étant un nomade, est libre de choisir où il veut rester et ou il se sent mieux dans sa personne.
Sous-argument 1.1 : lesurvenant est maître de son destin donc choisit le lieu où il veut demeurer.
Sous-argument 1.2 : le fait de ne pas vivre en un seul lieu lui permet de goûter à tout ce qu’il y a de nouveau à travers sonparcours.
Sous-argument 1.3 : le survenant se sent libre car il ne tisse pas vraiment aucun lien d’attachement avec les lieux ou les personnages des différents lieux qu’il a parcouru.

Argumentprincipal 2
La venue du survenant engendre une lueur de bonheur pour les habitants de la campagne de Chenal du Moine. Ceci leur permettre de vivre le bonheur dont le survenant jouit par le fait qu’il sedéplace d’une région à une autre.
Sous-argument 2.1 : le père Dicace en côtoyant le survenant se retrouve en sa personne et aimerait avoir un fils aussi courageux et laborieux comme lui.Sous-argument 2.2 :l’arrivée du survenant dans Chenal du Moine allume la flamme de l’amour en Angélina qui tombe amoureuse de lui.
Sous-argument 2.3 : le survenant a permis à Phonsine d’extérioriser soninstinct maternel qui sommeillait

Étape 2 : Rédaction
Par une analyse approfondie de l’œuvre, il est vrai d’affirmer que, dans Le Survenant de Germaine Guèvremont, le bonheur réside dans lenomadisme car le fait que survenant se déplace d’une région à une autre lui offre la liberté de choisir où il veut vivre tout en se sentant mieux dans sa propre personne. Premièrement, le survenant estmaître de son destin donc il choisit le lieu où il veut demeurer. En effet, en étant nomade, il voyage assez souvent et s’établit à l’endroit qui lui convient le mieux. Il est toujours à larecherche d’un endroit pour passer quelques jours. Dans le récit de Germaine Guèvremont le survenant arrive comme par hasard chez la famille Beauchemin et demande d’y demeurer. L’auteure le prouve à travers…