Énérgie solaire

novembre 18, 2018 Non Par admin

Introduction

Méthodologie et Objectifs

Partie I : Généralités sur la logistique verte

I.C’est quoi la logistique verte

1) Définition……………………….

2) Les différents facteurs……………………………………………….
3) L’évaluation de la logistique………………………………………..
II. Objectif de logistique verte ..
1) L’impact sur l’environnement.
2) Les principales objectives .
III.Que se passe t-il au Maroc ?

VI. Les enjeux de la logistique

Partie II : Energie solaire en rapport avec l’éco-logistique

1) L’énergie renouvelable: une fidélisation à la gestion.

2) Différentes formes d’énergies renouvelables…………

2.1. L’énergie de la biomasse
2 .2L’énergie hydroélectrique
2 .3.l’énergie éolienne2.4. L’énergie géothermique
2.5. L’énergie solaire
3) Energie solaire :

3.1Définition
3.2Historique :
3.3Avantage et limites

4) l’importance des énergies renouvelables en Afrique

4.1) L’augmentation du prix du pétrole.
4.2) La crise des compagnies d’électricité.
4.3) La prise deconscience de l’impact des énergies fossiles sur l’environnement au niveau mondial.
5) L’énergie solaire au Maroc : une culture verte
6) Les différents types de l’énergie solaire
6.1) Le soleil thermique :
6.2) Le soleil photovoltaïque .

Partie III : Energie solaire à la faveur des entrepôts « éco-entrepôts » (application)
1) Concept « éco-entrepôt »

2) Principes d’action « éco-entrepôts »

3) Phases et objectifs de constitution des « éco-entrepôts »

4) L’énergie solaire offre des entrepôts à vocation écologiques :

a. Optimisation énergétique dans les entrepôts

b. Installation du système photovoltaïque dans les entrepôts

c. Installation thermique

Conclusion

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Les logisticiens se préoccupent eux aussi de plus en plus dedéveloppement durable et de logistique verte. Toute société logistique en mesure de fournir des données chiffrées sur l’impact qu’elle a sur l’environnement (par exemple émissions de CO2 par tonne) a une longueur d’avance. Or à ce jour il n’existe pas de normes généralement reconnues encadrant la collecte de données d’où l’impossibilité de comparer les chiffres collectés.

Les ressources de laplanète sont limitées comme l’est sa capacité d’absorption. Mais personne ne sait quand les limites seront vraiment atteintes. Il fut un temps la question se posait de savoir si l’impact sur l’environnement était le fait de facteurs anthropogènes, en d’autres termes dus à l’activité humaine. Désormais la question ne se pose plus. La majorité d’entre nous a fini par se rendre compte que telle estbien la réalité. Il n’est qu’à voir le nombre croissant de personnes de plus en plus sensibles aux questions d’environnement.
Les entreprises de logistique sont elles aussi encouragées à s’engager dans ce domaine. Ne serait-ce que pour pallier de manière proactive à d’éventuelles défaillances de la sphère politique. Actuellement, il ne se passe guère une semaine sans que l’on entende parlerde mesures prises par des entreprises de logistique pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) ou protéger l’environnement. Du coup, on pourrait avoir l’impression maintenant que la branche s’appuie sur un niveau de connaissance général en matière de protection de l’environnement et que les contenus des relevés des entreprises peuvent être comparés objectivement.
Mais cetteimpression est trompeuse. En fait, la branche n’en est qu’à ses tout débuts en la matière. Les valeurs comparatives font totalement défaut. Un état que l’on peut actuellement parfaitement décrire comme suit: toute société logistique en mesure de fournir des données chiffrées sur l’impact qu’elle a sur l’environnement (par exemple émissions de CO2 par tonne) a une longueur d’avance. Or à ce…