Economie marchés
Chapitre 11 : conclusion : marchés contestables et politique publiques
Les marchés n’arrivent pas à réguler l’activité toute seule dans la réalité car si on laisse trop de concurrence cela tue laconcurrence. L’entreprise qui est leader grignote les parts de marché des autres concurrents et cela se transforme en monopole ou oligopole. Dans les années 80 les néoclassiques ont redéfini ce quedevait être la concurrence (William Jack BAUMOL).La concurrence ne dépend pas seulement du nombre de producteurs sur un marché, on peut un petit nombre de producteurs mais qui se comporteront comme s’ilétaient en concurrence : théorie des marché contestables.
I La théorie des marchés contestables
La concurrence n’est pas lié au nombre d’offreurs et de demandeurs sur un marché mais elle sedéfinit par l’existence d’une liberté d’entrer et de sortie d’un marché c’est à dire la possibilité plus ou moins importante qu’on des entreprises extérieures d’entrer sur le marché et de contester laposition des firmes en place.
Marché est contestable :
( Liberté d’entrer du marché
( Liberté de sortie du marché
Un marché est contestable s’il y a des entrant potentiel qui peuvent intégrer lemarché, s’y installer…
II Les implications pour les pouvoirs publics
Les néoclassiques disent que l’état doit avoir un rôle celui de préserver le caractère contestable des marchés.
Pour cela ilpréconise l’ouverture des marchés qui étaient réputés peu ou pas contestable en l’occurrence des secteurs qui étaient géré par des monopoles d’état.
Cela entraine des cycles d’évolution de ces secteurs,de plus l’état doit être vigilant de sorte que ces marchés restent contestables.
III Illustration : la libéralisation des services publics
A Principe
La libéralisation consiste à rendre librel’accès à une activité économique pour différents agents économiques privés ou publics. Elle signifie donc la fin du monopole d’une administration ou d’une entreprise sur une activité. En France…