Economie
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LA CAPITALE D’INFRASTRUCTURE ET LA PRODUCTIVITE DE SECTEUR PRIVE : Une ANALYSE DYNAMIQUE
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Contenus
1. INTRODUCTION
2. METHODE
3. DONNEES ET TEST PRELIMINAIRE
4. RESULTATS
5. LE RESUME ET LES REMARQUES FINALES
6. La table 1-l’Unité-Racine plus Dickey-Plein AccrueEssaie (la longueur de décalage dans les parenthèses)
7. La table les Tests de Cointegration de Johansen de 2 Multivariate, Eigenvectors Estimé, et Weightsa (y – n, n, kp, et le kg)
8. La table 3-les Estimations de Probabilité Maximums d’Equations de Corrections d’Erreur de Vecteur (la t-statistique asymptotique dans les parenthèses)
9. La table la Causalité de Granger de 4 PairwiseEssaie ? (y – n), ? le kg (la longueur de décalage = 3)
10. REFERENCES
Ce papier examine la relation entre public capital et la productivité de secteur privé dans le contexte d’un cadre dynamique qui distingue les relations d’équilibre à long terme des valeurs de déséquilibre de court-course. L’utilisation données annuelles couvrant la 1948-1987 période nous trouvons qu’il y a une relation àlong terme stable parmi la productivité de secteur privé, les données privées de capitale et le travail, et la capitale d’infrastructure fondamentale. La capitale publique exerce une influence positive sur la productivité de secteur privé le long de ce chemin, bien que l’effet est statistiquement significatif seulement aux bas niveau de confiance. , Là-bas n’a pas l’air d’être d’autre part d’effetperceptible sur la productivité par la capitale d’infrastructure fondamentale à court terme. Nous trouvons aussi que pendant que la capitale publique est faiblement exogène pour les paramètres de la relation à long terme, ce n’est pas fortement exogène, comme c’est Granger-Causé par la productivité de secteur privé.
INTRODUCTION
Dans les années récentes, une littérature d’une belle taille aémergé à propos de l’effet de capitale d’infrastructure publique sur la productivité de travail ou à propos de la capitale dans le secteur privé. Deux approches empiriques ont été utilisées pour étudier ce problème aux niveaux régionaux, nationaux et internationaux. Une approche utilise une fonction de production qui inclut le stock de capitale publique en plus des données privées (Aschauer, 1989a,1989b, 1989c ; Eisner, 1991 ; Holtz-Eakin, 1994 ; Hulten et Schwab ; 1991a, 1991b ; Moomaw, Chaud, et Williams, 1995 ; Munnell, 1990a, 1990b ; Tatom, 1991). La deuxième approche utilise une fonction de coût double à une fonction de production qui inclut la capitale publique comme un argument (Berndt et Hansson, 1992 ; Lynde et Richmond, 1992, 1993 ; Nadiri et Mamuneas, 1991 ; Conrad et Seitz, 1994).Les conclusions à propos de l’effet de productivité de capitale publique ont été mélangées. Tandis que quelque découverte cette capitale d’infrastructure publique contribue à la productivité de secteur privé ou abaisse les coûts de production, les autres ne trouve pas d’effet perceptible attribuable à la capitale publique. Une bonne partie de la preuve de temps-feuilleton sur l’effet deproductivité de capitale publique est basée des modèles qui souffre d’un nombre d’inconvénients.
Un problème est que la plupart des études supposent la causalité unidirectionnelle de la capitale publique à la productivité de secteur privé. Mais la causation unilatérale est seulement un de quatre possibilités. Une autre possibilité est la causation inverse qui prévoit que les plus hauts niveaux deproduction dans le secteur privé menent à l’accumulation de capitale publique. Comme Eisner (1991, p. 49) le met,
[le s] Les questions d’erious restent … quant à lequel est la cause et qui est l’effet. Fait la capitale publique contribue plus pour sortir ? Ou faire des états qui ont la plus grande production et le plus grand revenu, comme une conséquence d’ayant la capitale et le travail plus…