Das leben der anderen

novembre 16, 2018 Non Par admin

En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter au départ qu’il s’agit d’une intrigue orchestrée parle ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l’actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l’écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitzespère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.

Petit à petit, Wiesler s’éloigne de son devoir et n’intervient paslorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDAet occulté par le régime. Dreyman, bien qu’ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentatived’analyse des caractères. À partir de ce moment Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en faisant sonner la sonnette de l’appartement de Dreyman,lui fait se rendre compte que sa compagne fréquente le ministre.

Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s’engage comme« collaboratrice officieuse ». Il s’ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l’assaut policier dans le but de fouiller l’appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d’avoir participé àcette opération par son rôle d’informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam deGrubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu’elle meure de sa culpabilité, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j’ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Quoique…