Cours d’économie de la santé

novembre 27, 2018 Non Par admin

Cours d’économie de la santé | 2009-2010
2009-2010
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Introduction
Quand on parle d’économie de la santé. Cela ne veut pas dire faire une économie sur la santé de lapopulation. Ou comment gérer la santé de la population mais quelle politique sanitaire (ou politique de santé) et financière mettre en place pour répondre au besoin de soin de la population dans une optique ou pas de régulation(1) du système de santé. Cette politique sanitaire en question résulterait de l’environnement socio-économico-politique des pays. C’est-à-dire quelle tiendrais compte de lapyramide des âges, des problèmes démographique, de la situation sanitaire, de la situation social en faveur de bien être de la population, de la situation économique du pays et de la tendance idéologique et politique du pays.
La santé est le plus précieuse des biens. Elle est le plus souvent soumise que chacun se fait de son état de santé (santé ou malade), et également à l’avis des professionnelsde santé. Définie autre fois comme une absence de maladie, elle est aujourd’hui reconnu par l’organisation mondiale de la santé(OMS) comme un état complet de bien être physiques ; mental et social ; elle ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou l’infirmité (2).
De cette définition ; on peut déduire que la santé dépend notre possibilité physique ; biologique mais aussi de notreintégration sociale ; c’est-à-dire de notre intégration à l’environnement social et de notre condition de vie. La détérioration de cette santé est lié à de nombreux facteurs ou variables (facteur d’attribut ou déterminants sociaux). Le préambule de la constitution de l’OMS (3) précise que « la santé constitue l’un des droits fondamentaux de tout être humains quelque soit sa race ; sa religion ; sesopinons politiques, sa condition économique ou social « mais ce droit à la santé est en faite compris dans sens du droit aux soins. Cet ide à été reprise par la déclaration universelle du droit de l’homme du 10 décembre 1948 en ses articles 3 et 25 (4). Et la conférence d’Alma –Ata du & au 12 septembre 1978 (5)
Les résolutions 3201 et 3202 de l’assemblé général de l’ONU du 1er mai 1974 et larésolution 34/58 du 29 novembre 1979 établissent une liaison entre la santé et le développement. Elle juge que celle-ci est une partie intégrante du développement. Cette idée à été non sans importance sur le continent Africain. Elle à conduit à la formation de la communauté sanitaire Africaine par un traité du 25 octobre 1978. Elle retient quatre principes généraux :
* Le développement et lerenforcement des services de santé publique
* Des infrastructures sanitaires
* L’enseignement médical postuniversitaire
* La coopération entre les états pour entreprendre des activités qui aideront vers le niveau et la protection sanitaire de leur population (6).
Il est à reconnaitre également que la santé est une richesse collective. Une population saine et robuste représenta uncapital national qui ; joint à son développent culturel ; constitue la basse la plus solide pour l’élévation du niveau de vie d’un pays (7).
Son entretien incomber au prime à bord à son bénéficiaire (l’individu qui jouie de santé). Les idées qui l’entourent sur le plan humanitaire et économique conduisent les états à sa prise en charge collective au niveau de chaque nation. Cette crise en chargecollective de la santé passe par :
* La création des établissements de santé
* L’investissement en équipement dans les établissements
* La formation du personnel médical et paramédical
* La création des activités sanitaire au bénéficie de la population et le financement de cette prise en charge par le ministère de la santé publique (état, les assurances et les mutuelles privés…