Condition ouvrière au 20iem siecle
Ce que j’aime de l’enseignement à l’École de Langue Internationale de Churchill est que mes étudiants ne sont pas certainement des enfants. Ils sont de jeunes hommes et des femmes, surtout à leursderniers(tardifs) adolescents et de premières années vingt, bien qu’il y ait quelques-uns qui sont les étudiants plus vieux, mûrs qui l’ont seulement fait à Londres après l’écroulement d’un mauvaismariage à Séoul ou après trop d’années ennuyeuses dans un travail de bureau à Tokyo ou après à plusieurs reprises l’ayant de leur demande(application) de visa rejetée par un certain petit gratte-papierrancunier à l’Ambassade britannique à Beijing ou le Lagos ou Varsovie.
J’aime leur optimisme, leur jeunesse(jeune), la voie que leurs vies ne sont pas encore gravées dans la pierre. Et j’admire leurnerf, venant à mi-chemin autour du monde au maître une autre langue.
Ainsi pourquoi ils ne m’aiment pas tellement ? Parfois mes étudiants apparaissent tard. Parfois ils n’apparaissent pas du tout. Ets’ils le font à la classe, ils bâillent et la période(le bout) et la lutte pour passer une nuit blanche.
J’essaie finalement de mordre quand un d’entre eux, un garçon chinois dans des verres cassésappelés Zeng, perd sa bataille héroïque contre le sommeil et s’endort au milieu de ma conversation intéressante sur le passé composé.
Qu’est-ce qui est cela avec vous le lot ? ‘ J’exige. ‘ Vous nedémasquez pas de moitié du temps. Quand vous vous démasquez vraiment l’acte(la loi) comme si vous avez été lourdement sedated. Regardez ce type. Mort au monde. Est-ce que mes leçons vraiment sont siennuyeuses ? Avancer. L’avons. ‘
Ils me regardent fixement ahuri. Un ou deux d’entre eux frottent leurs yeux. Zeng commence à ronfler.
‘ Pas du tout, ‘ ne dit une fille japonaise en avant de la classe.Elle est une de la nouvelle sorte de filles japonaises – teinte des cheveux de blonde, lourd composent et des bottines de plate-forme. Elle ressemble à une de la Bande(l’Orchestre) se Scintillant….