Autobiographie adrien picamilh
Adrien Picamilh
Le dilemme :
« Argent ou conscience ? »
édition zaza
Préface:
Aujourd’hui j’ai fais 54 ans, et j’ai retrouvé une lettre qui était chez mes parents qui m’ont invité pour mon anniversaire qui disait « Bonjour futur adrien picamilh, aujourd’hui tu es âgé, et comme tu n’as pas bonne mémoire, je vais te rappeler quelque chose . Un jour, tu as écris une autobiographie, et jete demande d’en ré-écrire une, un jour où tu auras suffisamment vécu, et ensuite tu reviendras lire celle que tu as écris quarante ans plus tôt pour voir si tu avais raison, alors, chiche ? » Alors j’ai relevé le défi :
Dans mon enfance, j’ai toujours été bercé par la télévision . Ce superbe objet qui, comme la bicyclette à l’époque de nos parents, nous a permis de nous amuser . Mais ladifférence est que la télévision permet aussi de rêver . Et c’est pour cela qu’aujourd’hui, je remercie la télévision, sans elle, je ne serais pas devenu le ex-trader richissime que je suis aujourd’hui . Oui, car toute au long de mon enfance je me suis passionné pour les séries et films américaines sur la finance où les acteurs se mettent constamment des battons dans les roues, et qui, maintenant que jele sais, n’étaient pas vraiment loin de la vérité …
En effet, je me souvient particulièrement de John Crow, un autre trader de la même société que moi et qui ,quand nous avions seulement 30 ans , s’était mis en compétition avec moi . Pendant deux semaines, il s’était mis en tête de me piquer mes placements pour dégager plus de bénéfices, et ça marchait ! Donc, après une dure dure réflexion,j’eus décidé de placer beaucoup d’argent, mais pas assez pour être virer, sur un placement à risques et j’ai dit à tous mes collèges, sauf à John, que c’était une très mauvaise idée, et lui, en voyant mon investissement, pensa que c’était une très bonne idée et mis le triple de ma mise sur ce placement . Et bien sur, comme je l’avais imaginé, l’action sur ce placement perdit les 7/8 de sa valeur .John fit perdre 50 millions et ses cartons étaient fait le lendemain .
Pour être franc, je n’ai pas toujours voulu être trader . Et oui, comme tout les enfants, j’ai rêvé de devenir pompier, super-héros ou conducteur de formule 1 . En vérité, je me suis décidé en terminale S, le jour de noël 2013, où ma tante m’a offert un livre sur les traders, le monde de la finance et la bourse . En fait jen’ai été directement attiré par le sujet, je me souvient encore du titre: « économie de crise » avec une couverture rouge qui ne risque pas de donner envie de lire à un jeune de 17 ans … Mais bon, mon professeur de physique était très gentille et elle ne nous avait pas donné de devoirs, donc je pouvais le lire . Après l’avoir lu, j’ai décidé de m’intéresser de plus près à l’économie . Après lelycée, j’ai donc décidé de rentrer dans une école préparatoire d’économie, où j’ai rencontré un professeur d’économie, M. Garison, il était américain, c’était quelqu’un de fantastique, autant par son intelligence démesurée que par son tallent pour apprendre et donné de l’envie, c’est lui qui m’a poussé au meilleur de moi-même et qui m’a permis d’arriver à Wall Street, je lui doit tout .
Ensuite,j’ai du faire un choix très difficile pour moi : soit je partais dans un école supérieure moyenne, où j’aurais travailler et j’aurais eu une bonne situation, mais pas fantastique, ou je décidais de travailler 6 ans à une allure monstrueuse à HEC, je fis donc mon choix, j’avais décider de travailler . Pendant mes études à HEC, j’ai du beaucoup travailler et ce n’était pas tout les jours faciles,car, comme tout le monde le sait, c’est dans ces grandes écoles que l’on sort le plus et que l’on boit le plus . Et puis normalement, tous ceux qui arrivent à passer le concours d’entrée sont largement capable d’arriver à passer l’école elle-même . Grâce à ces 6 années, je me suis fait beaucoup d’amis, des amis dont je savais que leur intelligence allait les mener loin . Et j’avais eu raison car…