Anthologie guillaume apolinaire
ETCHEGOYEN 14/04/10
JORDAN
2ND1
Réalisation d’une anthologie de 6 poèmes
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SOMMAIRE
-préface
-A la Santé
-Le Pont Mirabeau
-Poème a Lou
-La tour Eiffel
-Le brasier
-La jolie rousse
-page de conclusion
Préface.
Je n’ai pas rencontré de difficulté particulière lors de laconstitution de mon anthologie, sauf pour les deux derniers poèmes ou j’ai longuement hésité.
J’ai d’abord décidé de travaillé sur Victor Hugo , étant un des auteurs proposé dans la liste que je conaissait le mieux, mais j‘ai finalement décidé de me consacré a Guillaume Apollinaire ayant envie de découvrir un
Nouveaux genre, choix qui ne ma pas déçue.
Le choix des poèmes :
J’ai choisit a lasanté, car il raconté un moment important de sa vie , de plus il donné une image du prisonnier assez spécial.
J’ai ensuite parler du pont mirabeaux, poème a Lou , et la jolie rousse car ils étaient destinés et inspiré tous trois par les trois femmes de sa vie ensuite j’ai décidé d’incorporé la tour Eiffel au dossier car j’ai pu parlé du calligramme, ainsi que mettre en avant l’époque a la quel ila écrit ce dernier,
Et pour finir j’ai placé la jolie rousse a la fin du dossier, car c’est le dernier poème du recueil Calligrammes de Guillaume Apollinaire et qu’il s’agit de sa dernière femme.
Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire est l’un des plus grands poètes français du début du XXe siècle, auteur notamment du Pont Mirabeau. Il écrit également des nouvelles et des romansérotiques. Il pratique le calligramme , et est l’inventeur du mot ‘’surréalisme’’. Sa mère, est issue de la noblesse polonaise, et son père est un officier italien,. Arrivé à Monaco en 1897. En 1899, il passe l’été dans la petite bourgade wallonne de Stavelot, un séjour quitté à « la cloche debois » : ne pouvant payer la note de l’hôtel, Wilhelm et son demi-frère Alberto Eugenio Giovanni doivent quitter la ville en secret et à l’aube. L’épisode wallon féconde durablement son imagination et sa création. Ainsi, de cette époque, date le souvenir des danses festives de cette contrée (« C’est la maclotte qui sautille … »), dans Marie, celui des Hautes Fagnes, ainsi que l’emprunt audialecte wallon.
En 1901 et 1902, il est précepteur pour la vicomtesse Elanor de Milhaud. Il tombe amoureux de la gouvernante anglaise Annie Playden qui refuse ses avances[]. C’est la période « rhénane » dont ses recueils portent la trace .Mais en 1905, elle part pour l’Amérique. Le poète célèbre sa relation avec Annie et la douleur de la rupture dans de nombreux poèmes, dont Annie et La Chanson dumal-aimé.
Entre 1902 et 1907, il travaille commence à publier contes et poèmes dans des revues.
En 1907 il décide de vivre de sa plume. Il se lie d’amitié avec Pablo Picasso, André Derain, Edmond-Marie Poullain, Maurice de Vlaminck et le Douanier Rousseau, se
En 1913, il publie Alcools, somme de son travail poétique depuis 1898.
Il s’engage dans l’armée française en décembre 1914 , ce quidéclenche sa procédure de naturalisation[]. Peu avant de s’engager, il tombe amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à Nice en septembre 1914, qu’il surnomme Lou. Elle est divorcée et mène une vie très libre. Guillaume Apollinaire s’éprend d’elle et lui fait la cour. Elle finit par accepter ses avances mais ne lui dissimule pas son attachement pour un homme qu’elle surnomme Toutou.Rapidement, Guillaume doit partir au front. Une correspondance, d’une poésie remarquable, naît de leur relation..
Mais la jeune femme ne l’aimera pas comme il l’aurait voulu ; ils rompent en mars 1915. Le 2 janvier 1915, il fait connaissance de Madeleine Pagès dans un train. Il part pour le front de Champagne en avril 1915. Malgré les vicissitudes de la vie en guerre, il écrit dès qu’il le peut pour…