Analyse de pratique

novembre 28, 2018 Non Par admin

Monsieur x 80 ans, est présent au centre de jour, depuis le 13 décembre 2010, il y vient 3 fois par semaine pour participer aux ateliers et aux repas, il présente un diabète
de type1 et unemaladie Alzheimer.

Lieu :

Centre d’accueil , a pour spécificité d’être adapté à l’accueil et aux soins des personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer dès 55 ans.
Ce centre met à ladisposition des aînés, des ateliers thérapeutiques.
Je suis dans le bureau de la cadre après le déjeuner pour effectuer l’injection d’insuline de mon patient, je désinfecte mon plan de travail c’est-à-dire lebureau, je me lave les mains, je prépare mon coton avec du désinfectant, je règle le stylo à insuline xunité, j’y ajoute mon aiguille, je mets des gants, désinfecte l’endroit où je vais injecterl’insuline, préviens mon patient et je le pique.
Ensuite il faut désadapter l’aiguille du stylo, bien sûr il faut faire attention de pas se piqué et je jette l’aiguille dans la boite jaune qui se trouvesur le bureau un peu à l’écart.
J’accompagne mon patient à l’atelier après avoir rangé mon matériel et mettre lavé les mains ; je fais mes transmission écrire et retourne dans une activité.Questionnement

Partant de ce constat, je me suis donc posé les questions suivantes :
– Que faut-il attendre de l’asepsie dans un lieu d’accueil? Le risque infectieux est majoré, comment le réduire ? etcomment aménager l’espace de travail ?

Observations

– Le fait d’être dans un lieu d’accueil, oblige le soignant à s’organiser techniquement pour
S’adapter aux conditions de travail, et àcomposer avec l’environnement de la structure.
Etre dans un lieu diffèrent du lieu de soin n’empêche pas la qualité de celui-ci.
La qualité est une démarche qui doit permettre de garantir à chaque patientun ensemble d’actes thérapeutiques qui lui assurera le meilleur résultat en terme de santé, et qui présentera aucun risque infectieux.
J’ai don réfléchit et je me suis demandée s’ il ne valait…