Alfred de musset

septembre 23, 2018 Non Par admin

Elle on fait de moi un homme
Mes douleur et mes peine
Je traine de hall en hall
Quitte a finir a fresne
Elle ont fait de moi un homme
mes douleur et mes peine
Man on s’enjaille dans ma banlieuesale music
Capital du crime

Veni vidi vici
je suis venu en gucci en Louis
J’aimerai tellement te dire que t’es pas ma chienne mais c’est mots sone faux ooohh
Yeah quoi de neuf fouiny baby destass et du flouz
arara
arrara
ararara
rar afr arara r ar a ra ra r ar a ra r a ra r a r g hfnglb ln hv lh oua kv en fiuere vouai cfeais ejkfdvj kjef ihfvi jh ohqd v
nique ta mere la pute t’esun ouf tu me prend pour ton pute ou quoi ya deâqb
De nos amours qu’il te souvienne,
Si tu remontes dans les cieux.
Je ne chante ni l’espérance,
Ni la gloire, ni le bonheur,
Hélas ! pas même lasouffrance.
La bouche garde le silence
Pour écouter parler le cœur.

LA MUSE

Crois-tu donc que je sois comme le vent d’automne,
Qui se nourrit de pleurs jusque sur un tombeau,
Et pour qui ladouleur n’est qu’une goutte d’eau ?
Ô poète ! un baiser, c’est moi qui te le donne.
L’herbe que je voulais arracher de ce lieu,
C’est ton oisiveté ; ta douleur est à Dieu.
Quel que soit le soucique ta jeunesse endure,
Laisse-la s’élargir, cette sainte blessure
Que les noirs séraphins1 t’ont faite au fond du cœur :
Rien ne nous rend si grands qu’une grande douleur.
Mais, pour en êtreatteint2, ne crois pas, ô poète,
Que ta voix ici-bas doive rester muette.
Les plus désespérés sont les chants les plus beaux,
Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots.
Lorsque le pélican,lassé d’un long voyage,
Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux,
Ses petits affamés courent sur le rivage
En le voyant au loin s’abattre sur les eaux.
Déjà, croyant saisir et partager leurproie,
Ils courent à leur père avec des cris de joie
En secouant leurs becs sur leurs goitres3 hideux.
Lui, gagnant à pas lents une roche élevée,
De son aile pendante abritant sa couvée,…