Le travail

novembre 20, 2018 Non Par admin

Groupe de travail :
Adeline FAUQUEMBERGUE
Cécile LIENNART

Date du TP : 19/06/2010

Compte-rendu
TP : Etude sur les risques liés à l’éclairage
Sommaire

I. Introduction : 3
II. La réglementation liée à l’éclairage des postes de travail 3
III. Mesure de l’éclairage de la salle de TP 5
IV. Deux solutions pour améliorer l’éclairage de la salle de TP 8
V. Techniques d’améliorationde l’éclairage pour le travail sur écran 9
VI. Conclusion 14

I. Introduction :
Les risques liés à l’éclairage peuvent être source d’inconfort et favoriser certains accidents, ils doivent figurer dans le document unique d’évaluation des risques professionnels.
Dans ce TP nous allons aborder ces risques de manière pratique.
Dans un premier temps, nous allons voir ce que préconise laréglementation.
Puis dans un deuxième temps, nous présenteront les mesures que nous avons pu effectuer dans l’enceinte de la salle de TP et en faire une analyse. Nous proposeront deux solutions qui pourraient être mise en œuvre pour améliorer l’éclairage de cette salle de TP. Une solution ne nécessitant pas de dépenses et une solution pour laquelle un budget devrait être accordé.
Enfin nous aborderontles techniques existantes pour améliorer l’éclairage des postes de travail sur écran.

II. La réglementation liée à l’éclairage des postes de travail :
Depuis août 1983, l’éclairage des lieux de travail fait l’objet d’une réglementation.
Les textes de référence sont :
• Décret n° 83-721 du 2 août 1983 complétant le Code du Travail en ce qui concerne l’éclairage des lieux de Travail, etdestiné aux chefs d’entreprises.
• Décret n° 83-722 du 2 août 1983 complétant le Code du Travail et fixant les règles relatives à l’éclairage des lieux de travail auxquelles doivent se conformer les maîtres d’ouvrage entreprenant la construction ou l’aménagement de bâtiments destinés à l’exercice d’une activité industrielle, commerciale ou agricole.
• Circulaire du 11 avril 1984 relativeaux commentaires techniques des décrets n° 83-721 et 83-722 du 2 août 1983 relatifs à l’éclairage des lieux de travail.
• Arrêté du 23 octobre 1984 relatif aux relevés photométriques sur les lieux de travail et aux conditions d’agrément des personnes et organismes pouvant procéder à ces contrôles.
• Lettre circulaire DRT n° 90/11 du 28 juin 1990 relative à l’éclairage naturel et à la vuevers l’extérieur.
La réglementation fait partie intégrante du Code du travail et s’applique à tous les locaux affectés au travail et à leurs dépendances, passages, escaliers, circulations, dépôts.
L’éclairage général.
« L’éclairage doit être conçu et réalisé de manière à éviter la fatigue visuelle, ainsi que les affections de la vue qui en résultent, et permettre de déceler les risquesperceptibles à la vue. Les locaux de travail doivent autant que possible disposer d’une lumière naturelle suffisante »
Le décret n° 83-721 fixe des valeurs minimales à respecter pour l’éclairement général dans quatre situations intérieures et deux situations extérieures. Ces niveaux d’éclairement doivent être assurés pendant la présence du personnel, sur le plan de travail ou sur le sol.
Ces valeurssont minimales dans l’espace et dans le temps.
C’est à dire :
• que l’éclairement en tout point du local doit leur être au moins égal.
• et que ces minima doivent être respectées en cours d’exploitation en tout moment, quelques soient les contraintes liées à l’activité ( poussières, fumées ) ou au vieillissement des installations ( usure des lampes, empoussièrement des luminaires ou desparois du local ).
Ainsi au lieu de parler de valeurs minimales réglementaires, on peut avancer la notion d’éclairement moyen initial ( EMI ) lors de la mise en service, dont les niveaux sont plus élevés que ceux du décret.
Prenons l’exemple des voies de circulation intérieure, où la valeur minimale fixée par décret est de 40 Lux. Si on se place dans une situation moyenne où l’uniformité…