Bertrand russel

novembre 16, 2018 Non Par admin

Ce chapitre est une revendication éloquente pour la pratique(le cabinet) de philosophie. Russell adresse explicitement « l’homme pratique » qui reconnaît seulement la philosophie comme une poursuite « de distinctions pinaillages(pinailleuses) » et sans rapport insignifiant. Le visionnage(l’observation) de la philosophie est ainsi un résultat d’avoir « une fausse conception des fins de vie » et « lessortes des marchandises que la philosophie s’efforce de réaliser. » Russell contraste l’utilité de philosophie avec celui des sciences physiques. L’étude scientifique a des effets d’une grande portée sur l’humanité, par des inventions, tandis que l’étude philosophique affecte principalement les vies d’entre ceux qui l’étudient et seulement affecte indirectement d’autres par eux. La valeur principalede philosophie doit ainsi être trouvée dans ses disciples. Russell ferait son lecteur libérer son avis(esprit) de préjudices(préjugés) pratiques. Tandis que l’homme pratique ferait seulement attention à la nourriture pour le corps(l’organisme) et les besoins matériels(substantiels), l’attitude philosophique reconnaît aussi le besoin de la nourriture pour l’avis(esprit).

Le but de philosophie estl’accomplissement de connaissance par la critique, « qui donne l’unité et le système au corps(à l’organisme) de sciences. » Cependant, la philosophie ne maintient(n’entretient) pas de corps(d’organisme) substantiel de connaissance définie dans le sens que l’histoire, des mathématiques, ou les sciences physiques font. La partie de la raison pourquoi la philosophie ne porte pas un tel ensemble depreuves est parce que quand la connaissance définie sur un sujet devient possible, il se fend de la formation d’une autre discipline. L’étude du ciel, de sciences naturelles et l’avis(esprit) humain produit dans l’enquête philosophique et assume maintenant les figures(chiffres) d’astronomie, la physique et la psychologie. Ainsi, en ce qui concerne des réponses définies, « l’incertitude de philosophieest plus apparente que réel(vrai). »

Pourtant, la partie de l’incertitude dans la philosophie provient de la même nature des questions auxquelles il entreprend de répondre. Ces questions adressent la plupart des intérêts humains profonds : « a l’univers une unité de plan ou le but, ou est-ce que c’est une foule(un hall) fortuite d’atomes ? L’est-ce que conscience est une partie permanente del’univers, donnant l’espoir de croissance indéfinie dans la sagesse, ou est-ce que c’est un accident transitoire sur une petite planète sur laquelle la vie doit en fin de compte devenir impossible ? Sont bon un mal d’importance à l’univers ou seulement à l’homme ? » En plus de l’ampleur de ces questions, les réponses diverses que la philosophie suggère ne sont pas d’habitude « évidemment vraies. »Cependant, la poursuite de philosophie ne doit pas simplement suggérer des réponses à ces questions, mais nous rendre sensibles à leur importance et nous garder prenant conscience « d’un intérêt spéculatif dans l’univers, » que nous pourrions autrement oublier.

Bien que quelques philosophes aient développé les programmes de pensée qui offre vraiment un jeu défini de conclusions de la croyancereligieuse, la connaissance humaine et d’autres questions(publications), Russell recommandent vivement que de telles tentatives soient des déclarations dogmatiques d’habitude imprudentes. Compatible(en accord) avec la pensée de ses autres chapitres, il des réclamations que nous ne pouvons pas espérer des réponses définies ou les même hauts degrés(diplômes) de certitude.

En fait, il théorise, la valeurde philosophie apparaît dans sa même incertitude. Il écrit persuasivement, « l’homme qui n’a aucune teinture de philosophie passe la vie emprisonnée dans les préjudices(préjugés) tirés du bon sens, des croyances habituelles de son âge ou sa nation et des convictions(condamnations) qui ont grandi dans son avis(esprit) sans la coopération de consentement de sa raison délibérée. » Cet avis est fermé à…