Hiroshima
« Quand tu m’regardes dans les yeux, ça m’énerve.
Je sais que j’rougie, ça m’énèrve, j’suis obligée de tourner la tête,
alors j’peux plus voir ton beau sourire, c’est dommage, tu vois. »
« Fermez.vos.geule.les.kikoos.lol.
Facebook et skyrock : royaume de la pétasse incomprise à bouche cul-de-poule montrant la moitié de ses nichons
sur chaque photo et s’improvisant poète dépressive ayantune vie de merde car s’étant faite plaquée. »
« L’attachement est une absurdité, une faiblesse, une incitation à la douleur.
Les êtres s’attachent et deviennent dépendants les uns des autres, à tel point que lorsque l’un vient à partir,
le monde s’écroule autour de l’autre. »
« Le plus souvent, on cherche le bonheur comme on cherche ses lunettes ; quand on les a sur le nez. »
– C’estquoi Dieu ?
– Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Eh bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre.
« J’avoue, je vous ai trouvé insupportable en tant que comédienne.
Si bien qu’au deuxième acte, j’ai failli m’étouffer avec mon bonbon à la menthe,
et j’en était presque content. »
On s’imagine toujours la vie des gens avant de les connaitre.
« Monté leson de ses écouteurs toujours plus haut pour arrêter de pensé.
Mais finalement on pense. On remonte encore le son. & on a mal a la tête…
La seule chose dont j’ai le control, c’est le volume de la musique. Et j’arrive quand même a me faire mal avec ça. »
Y’a les filles qui se lèvent deux heures à l’avance pour se maquiller et s’habiller.
Puis il y a celles qui se lèvent 10 minutes àl’avance, pour pouvoir dormir plus longtemps.
Y’a les filles qui peuvent marcher toute une journée avec des talons de 15 cm,
et celles qui portent des converses avec une robe.
Y’a les filles qui ont toujours un parapluie sur elles pour protéger leurs cheveux de la pluie,
et puis celles qui rentrent chez elles trempées. Y’a des les filles qui sont capable de se mettre du vernis à ongles sur lamain droite,
et celles qui en mettent partout. Y’a les filles que tous les garçons dévisagent, déshabillent, invitent.
Y’a les filles qu’on aime et qui sont capable d’aimer.
Puis y’a celles qu’on remarque une fois sur deux, qui marchent sur des œufs, qui sautent dans les flaques,
trébuchent dans les escaliers, celles qui ne comprennent pas qu’on puisse les aimer,
peut-être parce quefinalement, elles ne s’aiment pas assez elles même. Et toi, t’es qui, au fait?
» Si les enfants veulent tous devenir astronautes c’est pour se barrer de cette terre où il devront vivre toutes leurs vies.
Ensuite ils grandissent oublient la naza à cause d’un 5.5 en maths.
Ils écoute du black métal et vomissent de la bière vendu en pack de trente.
Ils se haïssent eux-mêmes sans trop savoirpourquoi.
Le lycée leur apprend les modalité de l’échec, de l’humiliation de la clope et du suicide.
Ceux qui auront leur bac se ruineront au Malibu coca. Puis le soleil éclaire un peu plus leur chemins, ils voient mieux l’avenir.
Puisqu’il n’y en a pas. Ils se psychanalysent eux même. Ce n’est peut-être pas forcément d’leur faute.
Alors il se mettent à faire de la politique. Un autre monde estpossible, le changer serait telement mieux.
Puis il achètent des t-shirt avec des étoiles rouge et trouvent le mot » révolution » trés beau.
Ca ressemble à » revolver » mais surtout à » évolution « .
Ils arrêtent de manger du mac do, refusent d’être français, ne regarde plus la météo de toute façon demain … il pleuvra.
Le doute se mêlent à leur tentatives veines forcément. Pourquoi refairele monde puisqu’il va péter ?
Puis il se rendent compte que boire un bière fraîche avec une belle brune c’est pas si mal.
Le regard d’une fille vaut mieux qu’un combat perdu d’avance. L’amour pas la guerre se genre de connerie.
On emmerde la dernière fois la société et revent son poster du Ché. Cette fille devient votre femme.
La bière fraîche devient votre bide. On s’entasse dans un…