Commentaire extrait germinal emile zola
En 1885, Emile Zola écrit son roman intitulé Germinal. L’extrait qui va être étudié est situé au troisième chapitre de la troisième partie. L’extrait commence depuis « Etienne recommençait à parler » jusqu’à « avant de s’endormir ». Ce texte peut être divisé en 2 grandes parties. La première partie allant depuis « Etienne recommençait » jusqu’à « comme prise de froid » fait sujet d’un discourtd’Etienne chez les Maheu. Le deuxième sujet commence avec « Mais la Maheude regardait » et finit avec « avant de s’endormir ». Cette deuxième partie se différencie de la première puisque c’est le retour à la réalité des personnages après le discourt. Les personnages doivent aller se coucher pour aller travailler le lendemain. Ce commentaire suivra une analyse linéaire, suivant l’ordre et lachronologie du texte.
La première partie commence avec une phrase courte décrivant la situation, Etienne est en train de donner un discourt aux Maheu. Etienne qualifie de « vieille » la société et dit qu’elle va « craquer », ceci nous emmène à une idée de renouvellement de la sociéte et peut être lié à la révolution. Mais l’auteur nous indique qu’en réalité, Etienne ne comprends pas beaucoupque lui-même dit, son seul avantage par rapport aux autres et qu’il sait lire et écrire, mais il a la même formation que les Maheu par exemple. Cela se voit dans les expressions utilisés ou figures de style comme « baiser « universelle » qui est en réalité une métaphore, faisant référence à la paix mondiale, une réconciliation après la révolution prédite. Mais un peu avant, une allitération peutêtre considérée, celle-ci répète le son « s », un grand nombre de fois : « Tous les systèmes y passaient adoucis d’une certitude de triomphe facile ». Cette allitération en « s » donne plus de relevance au mot « adoucis » qui suggère une ambiance silencieuse, et discrète. Si nous regardons cette phrase encore de plus près, nous nous rendons compte qu’Etienne essaie de transmettre de la sécuritéavec ses paroles, des mots comme « tous », « certitude », « facile », c’est presque un champ lexical si cela ne l’est pas encore. Zola nous montre que la certitude qu’Etienne veut transmettre parvient à arriver aux Maheu, pour cela l’auteur utilise une énumération qui est « comprendre, approuvaient, acceptaient »
L’auteur arrive même à comparer cette sureté avec la religion, pourceci il utilise la comparaison, « pareils à des chrétiens des premiers temps de l’Eglise ». En effet l’auteur, assimile cette nouvelle idée, nouvelle façon de penser, en espérant un monde meilleur, aux premiers temps du christianisme où, ils attendaient le messie, pour les aider. Nous avons un champ lexical de la religion composé de mots comme « foi », « miraculeuses », « croyants». Etienneavec ce discourt, transmet des messages d’espoir, de rêve, d’un monde meilleur face à la lamentable situation qu’ils souffrent, il offre des solutions, et les Maheu l’écoutent silencieusement. L’auteur les compare au premiers chrétiens car ils ont un aspect en commun, c’est qu’il y a un messie, dans Germinal, Etienne est le messie, qui donne des solutions qui est venu de nulle part il n’y apas très longtemps et qu’il a su, se faire une place dans le coron avec un grande facilité, car il la chance de savoir parler convenablement de façon à convaincre. Et dans ce cas, c’est très clair, puisque par exemple, Alzire essaie de l’imiter, en répétant les mots qu’Etienne prononce, en les imaginant. Zola dans ce cas s’aide d’un champ lexical pour nous le transmettre, c’est e champ lexical dubienêtre composé de mots comme « bonheur », « maison chaude », « jouaient », « mangeaient ». Mais Catherine aussi, sent de l’admiration pour Etienne ou du moins elle est très attentive car elle « restait les yeux fixés sur Etienne » en position d’intéressée car elle a « le menton dans la main ». Cet extrait se déroule en automne lorsqu’il commence à baisser la température et si Etienne arrête…