« Aujourd’hui les machines sont admirables et les visages fermés. nous avons la technologie, il nous manque le sourire »
La technologie a fait son apparition dans presque tous les domaines et son évolution ne cesse d’accroître. Les progrès en cette matière sont énormes. La création de nouvelles machines capables deremplacer le travail conçu artisanalement, ainsi que le développement de l’informatique ont envahi toute notre planète. Pourtant nous vivons dans un monde où les gens ne savent plus prendre le temps pourse reposer et où les dépressions sont de plus en plus courantes. Alors est-ce que la technologie a réellement amélioré l’existence des êtres humains? C’est une question générale que nous pouvons nousposer à travers la phrase du journaliste français François de Closets: « Aujourd’hui les machines sont admirables et les visages fermés. Nous avons la technologie, il nous manque le sourire ».Certes, toutes ces machines possèdent un côté « admirable ». C’est le cas dans la médecine par exemple, où l’on ne compte plus le nombre de vies sauvées grâce à ces dernières. Remarquons également lefait que dans ce domaine, les machines ont été la clef de son immense progression. Prenons maintenant un exemple plus précis, celui de l’IRM. L’IRM ou Imagerie par Résonance Magnétique est l’une destechniques d’imagerie médicale la plus récente et la plus révolutionnaire. Elle permet de diagnostiquer tous les jours l’emplacement et la gravité de toutes sortes de problèmes que peuvent avoir les gensdans leur corps et ainsi, elle permet aux médecins de faire les démarches de guérison beaucoup plus tôt et efficacement. Nous pouvons donc penser aux sourires procurés tous les jours à des milliers depersonnes pour avoir préservé leur vie ou celle d’un proche.
En contrepartie, « admirable » n’est tout de même pas l’adjectif que nous pouvons attribuer à l’invention de toutes sortes de machines,car de nombreuses personnes se sont retrouvées au chômage à cause de cette nouvelle mécanisation. Autrefois, il fallait une certaine quantité de travailleurs pour fabriquer ce qu’une machine seule…