Dissertation sur le suspens
Je ne me souviens plus de se que l’on parlait , sûrement du travail. Tout se dont je me souviens c’est que sa main était posée sur mon bras et qu’elle me regardait avec ses yeux vert luisants, salongue chevelure blonde retombait sur de fines épaules. Elle portait un long manteau noir qui lui arrivait aux chevilles et des lunettes brunes qui lui donnaient un air plus sérieux.
Un mois plustard, c’est elle qui me donna rendez-vous dans un café de la ville. Ne pouvant pas résister à son charme, j’ai accepté. Les semaines suivantes nous nous sommes retrouvés à divers endroits pour enfin unsoir de janvier se retrouver dans le même lit. Malheureusement, c’est en rentrant chez moi le même jour que j’ai appris la nouvelle…
Quelle poisse !
Ma femme retrouvée morte de deux balles dans lecrâne. En rentrant chez moi, la police était déjà là. l’inspecteur m’a posé une multitude de questions mais trop de choses fusaient dans ma tête : impossible de se concentrer. Il m’a proposé desuivre l’enquête pour faire mon deuil. Il a une voix grave et sûre qui lui donne un air rassurant. L’inspecteur a cherché pendant un certain temps et a découvert, je ne sais comment, que j’avais uneliaison.
– Pourquoi nous l’avoir caché ?
– Je n’en voyais pas l’utilité
– Mais c’est très important pour l’enquête
– Vous voulez dire que vous la suspectez
– …
Ce silence en disaitlong. C’était impossible, il faut la force d’un homme assez musclé pour tirer si bien à la carabine.
La police scientifique a trouvé un cheveu, c’était a elle : son A.D.N correspondait…
J’étaispourtant avec elle se jour là.
A moins que … non c’est impossible.
L’inspecteur alla chez elle, elle n’était pas la , il interrogea donc les enfants :
– Ou est votre mère ?
– Elle estpartie avec Tata
– Tata …
– Comment s’appelle ta Tata ?
– Mélodie
– Et elle habite ou ?
– A Dubai
– Et pourquoi vient elle ici
– Elle est en vacances
– Merci, au…