L’invention de l’imprimerie par gutenberg
Texte de fiction dans le but d’exprimer des connaissances historiques
L’invention de l’imprimerie par Gutenberg 1450
Par cette belle journée ensoleillée, que rien ni personne n’avait troublée, j’étais étendue sur ma chaise longue, prenant un bain de soleil. Il devait être environ quatorze heures et la chaleur était presque étouffante. Cela faisait deux heures que je me prélassais au soleilet je me sentais sur le point de m’endormir lorsque j’entendis le téléphone sonner. En m’allongeant pour attraper le combiné je le fis tomber dans la piscine. Soudainement bien réveillée, je me jetai à l’eau pour récupérer mon appareil. De retour sur la terre ferme, j’allai à l’intérieur pour voir si l’interlocuteur de cet appel avait laissé un message. Je restai toute surprise d’entendre la voixd’un inconnu sur ma boîte téléphonique : > Dès le lendemain, je me précipitai à ce café pour prendre connaissance du contenu de ce récit. Cet oncle lointain m’avait toujours intriguée par les circonstances inconnues de son arrivé en France et par sa vie bien secrète. Son récit se lit comme suit :
Le climat y est toujours tempéré et nous vivons sans craindre de gros écarts de température. Laville de Mayance est située à l’ouest du pays. En général il y pleut plus souvent en été qu’en hiver. L’économie se base principalement sur l’agriculture et les ressources minières. Mon père est mort peu après ma naissance d’une maladie infectieuse, laissant ma mère sans le sous. La Cathédrale Saint-Martin de Mayence a soutenu ma mère durant cette épreuve. Elle allait souvent prier dans cettecathédrale de style gothique. Elle dût se trouver un emploi rapidement pour pouvoir subvenir à nos besoins. Elle était une bonne femme qui faisait divinement à manger et qui savait bien tenir une maison. Elle s’est toujours bien occupée de moi et elle a fait tout en son pouvoir pour que j’aie la possibilité de devenir forestier, métier où on travaille le bois en en faisant des pièces taillées et desoutils divers, même si pour cela elle dût devenir gouvernante. Elle servait chez un riche seigneur et passait donc ses journées à nettoyer, faire à manger et s’occuper des enfants de monsieur Vadim, qui travaillait fort et avait beaucoup d’argent et de terres. Madame, quant à elle, passait ses journées au salon en compagnie de bourgeoises qui n’avaient rien d’autre à faire que papoter. Il arrivaittrès souvent que j’aille aider ma mère pour des tâches simples et lors de ces occasions, il m’arrivait de croiser les membres de la famille. J’étais ainsi témoin de ce qui se passait dans la maison. Il m’arrivait de rencontrer monsieur lorsque j’accomplissais mes tâches et il était toujours bien sympathique avec moi. Il m’était quelque fois permis de jouer avec Jörk et Röschen, les enfants dont mamère s’occupait. J’appris à leur contact et grâce aux chants de ma mère plusieurs chants tel Der wallt hat sich entlawbet, qu’elle me chantait avant d’aller dormir. Je finis par capter l’attention de monsieur Vadim qui se mit à me raconter divers récits et à m’enseigner secrètement la calligraphie qu’il avait apprit d’un oncle moine. Il disait que mes œuvres seraient plus riches en apparences avecdes belles choses d’écrites dessus. Il commença lentement à m’enseigner quelques mots de latin. Il faut dire que tout le monde parle et apprend l’allemand durant sa jeunesse, > Après nos quatre années de primaire, nous devons déjà entrer dans une spécialisation en vue de notre futur métier, il était donc certain qu’un avenir de forestier s’ouvrait à moi. Monsieur Vadim continuait cependant àm’enseigner diverses techniques de calligraphe lors de ses temps libres. Il devint évident pour lui que j’avais du talent dans cette branche. Il offrit donc à ma mère de financer le reste de mes études tout en me faisant prendre des cours par un moine calligraphe.
Il faut mentionner que le peuple est instable et que le pouvoir passe entre plusieurs mains durant ce siècle. Je suis né en pleine…