Rapport de stage robert walter
Juliette Grimault
Promotion 2008
Cycle AMRH
Rapport de stage
Assistante de recherche
18 Juin au 7 Septembre 2007
(12 semaines)
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SOMMAIRE
SOMMAIRE 1
REMERCIEMENTS 2
SYNTHESE 3
INTRODUCTION 7
L’ENTREPRISE ROBERT WALTERS 8
A – Historique 8
B – L’activité 9
1 – Le recrutement 10
2 – Le management de transition 10
3 – L’assessment 114 – Les Ressources Humaines chez Robert Walters 12
5 – Le métier de consultant en recrutement 13
DEROULEMENT DU STAGE 14
A – Mes missions 14
1 – Missions quotidiennes 14
2 – missions ponctuelles 16
3 – la recherche de stagiaire 19
B – Les outils 22
1 – Outlook 22
2 – La base de données 22
3 – Les sites de recherche Internet 25CONCLUSION 25
SOURCES 26
REMERCIEMENTS
Je remercie tout particulièrement Julia de m’avoir formée et d’avoir répondu à mes nombreuses questions.
Je remercie Catherine de m’avoir conseillée en tant que manager et fait confiance durant ce stage.
Je remercie Marina, Jacques, Mathieu, Hermine et Yvan qui m’ont fait confiance en me confiant des missions de recherche.
Je remercie Christellepour avoir fait en sorte que le stage se déroule dans une bonne ambiance et de bonnes conditions de travail.
Enfin, je remercie le cabinet Robert Walters d’offrir à des stagiaires l’occasion de découvrir le monde du recrutement.
SYNTHESE
L’organisation :
Robert Walters est un cabinet de recrutement d’origine Anglo-Saxonne fondé en 1985. Sa branche Parisienne a été créée en 1999. Elle sedivise en plusieurs pôles : juridique et fiscal, finance d’entreprise, banque de détail, banque d’investissement, technologies de l’information, management de transition et plus récemment immobilier et assurances. Tous les pôles sont regroupés dans un open space d’une centaine de personnes. Chaque pôle est constitué de 3 à 5 consultants dont un manager, d’un stagiaire et d’une ou deux assistantes. Lepôle finance d’entreprise, qui est le cœur de métier de Robert Walters, est lui-même divisé en plusieurs pôles. J’étais donc rattaché à l’un de ces pôles spécialisé dans le recrutement de cadres financiers tels que : contrôleur de gestion, auditeur interne, consolideurs, responsable administratif et financier…Comment un cabinet de recrutement peut il respecter des règles de non discrimination malgréun flot d’information et un nombre d’intervenants très importants. Je suis intervenue en tant que stagiaire à chaque étape du processus de recrutement d’un candidat. J’ai pu ainsi voir quels sont les moyens de lutte contre la discrimination.
Le travail administratif :
La priorité des stagiaires chez Robert Walters est de s’assurer que le travail administratif est effectué en temps voulu. Eneffet, les consultants ne peuvent travailler si les informations ne circulent pas correctement ou ne sont pas entrées dans la base de données.
Ces informations ne doivent comporter aucune annotation discriminatoire et une consultante de l’entreprise est chargée de veiller à ce que cette consigne soit respectée : si l’on trouve l’une de ces annotations, il faut lui faire remonter l’informationafin qu’elle l’efface.
Tout ce travail est indispensable car la base de données, Profile, est commune à tout l’open space. Tous les consultants doivent pouvoir se reposer complètement sur le dossier d’un candidat, quel que soit la personne qui l’a suivi avant, d’où l’intérêt également d’avoir des commentaires non discriminatoires car un ressenti négatif d’un consultant ne correspond pas forcémentà la même perception pour tous les autres.
La gestion de la base de données :
Profile est en fait la traduction informatique de tout le travail administratif précédemment cité. Après insertion des informations dans Profile, il n’est plus fait aucune référence aux documents papiers.
Profile est également, le premier moyen utilisé pour rechercher un candidat correspondant aux critères…