Une nuit d’orage

décembre 25, 2018 Non Par admin

La nuit du 25 octobre 1991, le temps à Baguio était très mauvais. Il y avait un typhon qui s’appelle Trining. Trining avait une intensité si forte que son signal a été déclaré celui du numéro quatre– il était le premier typhon d’avoir une telle intensité. Pendant cette nuit-là, ma mère enceinte, Florita Asuncion Banayat, lisait la Bible. Lorsqu’elle s’est assise sur le lit, son « sac de l’eau » atout à coup été brisé. Elle a su tout de suite qu’elle était sur le point d’accoucher, donc elle a préparé toutes les choses dont elle avait besoin pour ma naissance.
Mon père, Ricardo CacheroBanayat, est un officier de l’armée de l’air des Philippines et pendant ce temps-là, il était envoyé à Palawan, à plusieurs kilomètres de Baguio, même de l’île de Luzon. Ma mère à ce moment-là avaitvraiment besoin d’aller à l’hôpital et à cause de l’absence de mon père et de l’indisponibilité des voitures, ma mère a téléphoné son amie, Celia Jonson Aquino, qui était sur le point d’aller à Manille.Elles sont parties ayant un élève officier pour l’assistance. Leur voyage vers L’Hôpital général de Baguio était dur. Le vent puissant faisait ployer les branches des arbres pendant que la pluie faisaitla route très glissante. Alors, c’était difficile pour la fourgonnette qui était conduite par Mme. Aquino d’avancer vitement. Aussi dans la fourgonnette, j’étais dans l’utérus de ma mère et j’étaisprête de voir le monde externe. Je suis sûre que ma mère pourrait déjà sentir mon forte envie de naître et de vivre comme un autre. En effet, lorsque nous étions encore dans la fourgonnette, à cemoment-là ma naissance a commencé. Par conséquent, ma mère m’a donné le prénom Karla. Exactement à une heure cinq le 26 octobre 1991, devant l’aéroport de Loakan, j’ai commencé de naître. Ironiquement, undrôle partie de l’incidence, l’élève officier est tombé en syncope dès qu’il a vu du sang. Au contraire, Mme. Aquino ne pourrait pas faire le même car elle conduisait, mais elle est plutôt affolée…