Suite fictive d’une fable de la fontaine
Une fois que le Lion eut finit de manger, il s’en allât. De
part ce que la Génisse, la Chèvre et la Brebis venaient de voir, elles discutèrent ardemment sur le sujet ; la Chèvre commença : « il estcertes plus fort que nous le sommes toutes les trois réunies et il est capable de nous protéger en cas de nécessité si nous ne le contrarions pas, mais son intelligence égale-t-elle sa force ? » laChèvre et la Brebis se mirent à rire follement tout en acquiesçant.
Après ce moment la Brebis s’élança et dit : « La loi du plus
fort, qu’il s’appelle « Lion » ou qu’il soit vaillant ne lui donne enaucun droit la possibilité d’écorcher ce cerf que toi, Chèvre, tu as capturé dans tes lacs. Etant donné que tu es celle qui le captura, tu devrais être la seule et unique personne à décider quoi enfaire. Il est vrai qu’il mérite une plus grosse part que les nôtres car nous n’avons point un gros appétit de plus qu’il nous protège. »
Ce que venait de dire Brebis ne laisse pas Chèvreindifférente : « Que voulais-tu faire Brebis ? nous sommes trop faibles pour tenter de nous révolter, bien que tu ais raison, il nous aurait étranglées ! »
C’est à ce moment que la Génisse cria, ce qui provoquaun
énorme sursaut chez ses deux amis : « J’ai une brillante idée les amis ! »
Quelques heures plus tard, Lion fût réveillé par une
conversation assez bruyante dans la forêt, il ne se gêna paspour l’écouter.
« Cette part m’appartient car je suis une génisse de premier ordre ! » cria Génisse
« Celle-ci est mienne car je suis la plus forte de toutes les chèvres ! » cria Chèvre
« Je suis laplus vaillante d’entre nous, la troisième part me revient de droit et vous le savez !! » Brebis ne pût s’empêcher de crier plus fort que ses deux amis, ce qui énerva Lion, il était sur le point debondir prés des trois petits quand soudain, une louve et ses louveteaux arrivèrent. La louve demanda –à voix basse– à nous trois petits si son repas était servi, d’un signe de la tête elles dirent…