Ses classes soaciales en voix de disparition

Lorsque le concept a été pensé, les choses paraissaient simples : les ouvriers étaient des travailleurs manuels de l’industrie, travaillant dans des conditions souvent difficiles.

Les évolutionstechniques et sociales ont brouillé la distinction entre ouvriers et salariés aux fonctions tertiaires :

les postes tertiaires se sont multipliés dans les usines.
Des millions d’ouvriers sontaujourd’hui employés dans le secteur des services, dans les transports ou même celui les services aux entreprises, par exemple, au sens de la Nomenclature des Activités Françaises définie par l’INSEE[réf.nécessaire].
La fonction publique compte un certain nombre d’ouvriers, notamment dans les collectivités locales, dans les établissements scolaires, dans l’entretien des infrastructures.
Dans lesentreprises industrielles, les métiers ouvriers ont connu des évolutions, distendant en particulier le lien entre travail et production directe, compte tenu de l’automatisation des processus deproduction.

La notion de classe ouvrière se détermine par le sentiment d’appartenance à la catégorie sociale déterminée des ouvriers, qui ne disposent pas de la propriété des moyens de production et vendentleur force de travail

salut

Lucky Luke est une série de bande dessinée franco-belge de western humoristique créée par le Belge Morris dans l’Almanach 47, un hors-série du journal Spirou publiéen 1946. Pour le scénario, Morris est aidé, à partir de l’album no 9 par plusieurs scénaristes, dont le plus fameux est le Français René Goscinny. Depuis le décès de Morris en 2001, le dessin estassuré par Achdé.

La série met en scène Lucky Luke, cow-boy solitaire au Far West, connu pour être « L’homme qui tire plus vite que son ombre », accompagné par son cheval Jolly Jumper et la plupart dutemps par le chien Rantanplan. Lors de ses aventures, il doit rétablir la justice dans le Far West en pourchassant des bandits dont les plus connus sont les frères Dalton. La série est truffée…