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novembre 15, 2018 Non Par admin

Ethologie comportementale et cognitive

Ce qui plus le problème en éthologie cognitive c’est l’interprétation pendant le résultat.
Il existe trois points de vue sur L’interprétation comportementale animale
1.
Est celui de béhaviorisme : considère qu’il ne faut étudier que le comporte ment semblable stimulus -réponse on ne s’occupe pas de ce qui se passe à la tête du sujet.
Ils affirmentque les expériences mentales subjectives sont des phénomènes sans importance et devraient être ignorées par les scientifiques sérieux.

Le béhaviorisme explique le comportement animal et humain en termes d’influence externe et comment ces influences affectent le comportement observable.

le troisième représente une position intermédiaire, ces chercheurs pensent que le comportementobservable implique les processus cognitif se basant sur les représentations, la mémoire et les attentes.
Ces processus entrainent des décisions et une classification des objets en fonction des désirs et des attentes, ainsi les animaux veulent certaines choses n’en veulent pas d’autres et attendent que certaines actions mènent à certains résultats.
Ces chercheurs sont très réticents à accepter l’idéeque les animaux sont conscients surtout à cause du fait que la conscience ne peut pas être étudiée de manière scientifique.
Puisse que la conscience est difficile à étudier on pense que les animaux sont inconscients.

En effet on observe des preuves à ce qui peut être la conscience des animaux dans tout le règne animal.
Exemple : les chimpanzés aiment des grosses noix mais ils savent qu’ellesEn général il stock ses outils et quand ils se trouvent une noix,

Les lionnes coopèrent parfois

Malheureusement ils ne peuvent l’exprimer d’une manière qui nous permet de les reconnaitre.
De plus on sait que les structures anatomiques et neuronales et leurs fonctions sont très similaires chez les animaux.
Même si la conscience est plus rudimentaire il existe bel et bien chez les animaux.La meilleure attitude consiste à garder l’esprit ouvert et à accepter la possibilité que les animaux soient conscients jusqu’à preuve du contraire.

Notre attitude envers les animaux à des origines très anciennes et notamment dans la tradition philosophique judéo-chrétienne.
Selon cette tradition les espèces animales mais aussi la terre et les plantes ont été créées pour servir les intérêtshumains.

Dans son premier livre de la genèse Dieu distingue les humains et les animaux, en créant les humains à son image.
Dieu accorde ainsi à l’homme la domination de tout être vivant qui bouge sur
La terre.

Aristote 384-322 a.c.n
Il a beaucoup influencé notre pensée actuelle, il a fondé la zoologie et mena des recherches systématiques sur les modes de vie des animaux.
Il a écrit surla recherche des nourritures, la reproduction, la migration des oiseaux, l’automédication chez les animaux parmi d’autres. Il élève l’intellect et le pouvoir de la raison au-dessus de toutes les facultés.
Il voit le monde de naturel comme une hiérarchie intellectuelle.
Il postule une continuité entre les organismes qui se situent sur une échelle qu’il appelle SCALA NATURAE au sommet de laquellese trouve l’homme.

Pour lui tout a un sens et la nature prend soin des organismes pour des raisons spécifiques.
La raison d’être des animaux qui se trouvent plus bas sur l’échelle que l’homme est de lui servir de nourriture et pour les labeurs .
Les mêmes idées ont été incorporées dans la tradition chrétienne donc la vie et la mort des animaux sont assujettis à la décision de l’homme.
Parceque l’homme possède la raison que les animaux ne possèdent pas.
On ira jusqu’à dire que les animaux ne sont pas immortels alors que les hommes les sons.

PLUTARQUE vécut entre 46-125 Pcn

Parmi d’autres vanter la sagesse des animaux du fait qu’ils ne sont pas corrompus comme l’être humain, qui à l’époque était appelée de brutes et considère que l’animal est égal ou sinon supérieur à l’homme….